Qu'est-ce que le béhourd ? Cette pratique du Moyen Âge adoptée par Pierre Casiraghi, le fils de Caroline de Monaco
Publié le 27 mars 2025 à 19:46
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Par Louise Martin | Rédactrice
Koh Lanta, Les Marseillais mais aussi Mariés au Premier regards… Louise Martin est une télévore qui essaye, à ses heures perdues, de refaire les gâteaux qu’elle admire devant le Meilleur Pâtissier… mais elle ne risque pas de gagner le tablier bleu ! Les réseaux sociaux n’ont pas de secret pour elle, les derniers scoops, les dernières émissions, elle les connaît tous.
Ce mercredi 26 mars 2025, Pierre Casiraghi fait la couverture de The Good Life, revue de business et lifestyle. Dans un papier consacré au fils de Caroline de Monaco, on apprend qu’il est un fervent adepte du béhourd, une pratique du Moyen Âge ! En quoi consiste-t-elle ? On vous en dit plus.
Qu'est-ce que le béhourd ? Cette pratique du Moyen Âge adoptée par Pierre Casiraghi, le fils de Caroline de Monaco
Pierre Casiraghi est un homme plein de surprises !

Pierre Casiraghi à la cérémonie de remise des prix des meilleurs projets de fin d'études pour la durabilité dans le milieu bâti dans le Tunnel Riva sur le port de Monaco. © Claudia Albuquerque/Bestimage Alors qu'il était interviewé par le magazine "The Good Life",

Pierre Casiraghi - Photocall du défilé DIOR "Collection Homme Prêt-à-Porter Printemps/Eté 2025" lors de la Fashion Week de Paris, le 21 juin 2024.
© Borde/Rindoff/Bestimage Il a révélé être adepte d'une pratique peu commune.

Pierre Casiraghi lors du relais de la Flamme Olympique des Jeux olympiques d'été de Paris 2024 à Monaco, le 18 juin 2024. Paris se prépare à accueillir les XXXIIIèmes Jeux Olympiques d'été, du 26 juillet au 11 août 2024. Olivier Huitel/Pool Monaco/Bestimage Pierre Casiraghi fait du béhourd, un sport de combat qui date du Moyen Âge.

Pierre Casiraghi a participé au tournoi de Béhourd (combat médiéval) de la Principauté de Monaco avec son équipe Les Grimaldi Milites sous le regard de son oncle le prince Albert II de Monaco, au chapiteau Fontvieille, France, le 15 juin 2024. Les monégasques ont rencontré l'équipe Martel, venant de Paris, les lyonnais de la Confrérie des Loups, Les Comtois de Franche Comté, les Faucons Noirs de Touraine et les Bannerets d'Auvergne. Les Grimaldi Milites ont terminé 3eme de ce tournoi. Le béhourd est une forme de combat médiéval. Il s’agit d’une adaptation contemporaine d’une pratique sportive et guerrière ancienne. Les compétiteurs s’y affrontent en armure complète, à pieds, avec des armes en acier qui ne sont ni pointues, ni tranchantes. Les combats en équipes sont les plus populaires. Dans de tels affrontements, les coups sont portés à pleine puissance, et seules certaines techniques jugées trop dangereuses comme les coups d’estoc (c’est-à-dire portés avec la pointe, pour planter) ou les coups derrière les genoux sont interdites. Les coups de pieds, de poings, de genoux, les prises de corps à corps sont autorisés. L’équipe qui gagne est celle qui parvient à terminer la manche avec encore au moins un joueur debout sur ses deux jambes. Le but est donc de faire chuter les membres de l’équipe adverse par tous les moyens autorisés, l’arme à la main. Cette pratique se revendique héritière des tournois médiévaux, qu’elle entend remettre au goût du jour sous forme sportive, mais aussi culturelle de par sa dimension historique, qui transmet un savoir sur l’histoire de France, sur la chevalerie et sur la guerre au Moyen-Âge de façon ludique et spectaculaire. Cette pratique est apparue au XIIème siècle, a évolué jusqu’au XVIème siècle pour finalement s’éteindre et réapparaître aujourd’hui sous cette nouvelle forme sportive. © Bruno Bebert/Bestimage Et il a même participé au tournoi organisé au chapiteau Fontvieille en France en juin 2024.

Pierre Casiraghi a participé au tournoi de Béhourd (combat médiéval) de la Principauté de Monaco avec son équipe Les Grimaldi Milites sous le regard de son oncle le prince Albert II de Monaco, au chapiteau Fontvieille, France, le 15 juin 2024. Les monégasques ont rencontré l'équipe Martel, venant de Paris, les lyonnais de la Confrérie des Loups, Les Comtois de Franche Comté, les Faucons Noirs de Touraine et les Bannerets d'Auvergne. Les Grimaldi Milites ont terminé 3eme de ce tournoi. Le béhourd est une forme de combat médiéval. Il s’agit d’une adaptation contemporaine d’une pratique sportive et guerrière ancienne. Les compétiteurs s’y affrontent en armure complète, à pieds, avec des armes en acier qui ne sont ni pointues, ni tranchantes. Les combats en équipes sont les plus populaires. Dans de tels affrontements, les coups sont portés à pleine puissance, et seules certaines techniques jugées trop dangereuses comme les coups d’estoc (c’est-à-dire portés avec la pointe, pour planter) ou les coups derrière les genoux sont interdites. Les coups de pieds, de poings, de genoux, les prises de corps à corps sont autorisés. L’équipe qui gagne est celle qui parvient à terminer la manche avec encore au moins un joueur debout sur ses deux jambes. Le but est donc de faire chuter les membres de l’équipe adverse par tous les moyens autorisés, l’arme à la main. Cette pratique se revendique héritière des tournois médiévaux, qu’elle entend remettre au goût du jour sous forme sportive, mais aussi culturelle de par sa dimension historique, qui transmet un savoir sur l’histoire de France, sur la chevalerie et sur la guerre au Moyen-Âge de façon ludique et spectaculaire. Cette pratique est apparue au XIIème siècle, a évolué jusqu’au XVIème siècle pour finalement s’éteindre et réapparaître aujourd’hui sous cette nouvelle forme sportive. © Bruno Bebert/Bestimage
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Chaque apparition médiatique de Pierre Casiraghi est un événement, l’héritier monégasque se fait très discret sur sa vie privée. Dans le nouveau numéro de The Good Life paru ce mercredi 26 mars 2025, ce n’est pas de son quotidien d’héritier monégasque qu’on parle mais plutôt de sa passion débordante pour la mer et la navigation. En effet, il participera à l’Admiral’s Cup, une course au large de voiliers à laquelle Monaco participe pour la première fois cette année, prévue du 17 juillet au 1er août 2025 aux abords de l’île de Wight, son défi du moment. C’est d’ailleurs sur Tuiga, son voilier fétiche que le frère de Charlotte recevra nos confrères de The Good Life.

Au cours de cet entretien exclusif, on apprend également que Pierre Casiraghi est fan d’un sport de combat très peu connu : le béhourd. Cette pratique étonnante date du Moyen Âge et implique l’utilisation d’armes et d’armures issues de cette époque. Elle s’exerce en duel ou en équipe, et pendant les combats de masse, une équipe l’emporte quand elle met ses adversaires à terre. La renaissance du béhourd date des années 1990 en Russie et sa pratique contemporaine a été importée en France par Edouard Eme en 2011. En juin 2024, Pierre Casiraghi a participé au tournoi de Béhourd (combat médiéval) de la Principauté de Monaco avec son équipe Les Grimaldi Milites sous le regard de son oncle le prince Albert II de Monaco, au chapiteau Fontvieille en France.

Pierre Casiraghi a participé au tournoi de Béhourd (combat médiéval) de la Principauté de Monaco avec son équipe Les Grimaldi Milites sous le regard de son oncle le prince Albert II de Monaco, au chapiteau Fontvieille, France, le 15 juin 2024.

© Bruno Bebert/Bestimage © BestImage, Bruno Bebert / Bestimage
Le style, une affaire de famille

Si The Good Life consacrait plutôt son papier à Pierre Casiraghi, le navigateur et vice président du Match Club de Monaco, l’homme de 37 ans a quand même abordé avec pudeur son défunt père. Il a perdu son père en étant enfant et peu de souvenirs demeurent, mais le fils de Caroline de Monaco perpétue son héritage avec une élégance infinie. "J’ai trouvé des costumes Dior de mon père que j’ai fait retailler", explique-t-il au magazine, "Dior fait de très belles vestes dans lesquelles je suis à l’aise, et qui ne masquent pas ma personnalité." Pour rappel, son père Stefano Casiraghi est tragiquement décédé lors d’un accident de la mer dans les eaux de Saint-Jean-Cap-Ferrat entre Cannes, Monte-Carlo et Nice, le 3 octobre 1990 alors que Pierre n’était âgé que de trois ans. 

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Pierre Casiraghi fait du béhourd, un sport de combat qui date du Moyen Âge.

Pierre Casiraghi a participé au tournoi de Béhourd (combat médiéval) de la Principauté de Monaco avec son équipe Les Grimaldi Milites sous le regard de son oncle le prince Albert II de Monaco, au chapiteau Fontvieille, France, le 15 juin 2024. Les monégasques ont rencontré l'équipe Martel, venant de Paris, les lyonnais de la Confrérie des Loups, Les Comtois de Franche Comté, les Faucons Noirs de Touraine et les Bannerets d'Auvergne. Les Grimaldi Milites ont terminé 3eme de ce tournoi. Le béhourd est une forme de combat médiéval. Il s’agit d’une adaptation contemporaine d’une pratique sportive et guerrière ancienne. Les compétiteurs s’y affrontent en armure complète, à pieds, avec des armes en acier qui ne sont ni pointues, ni tranchantes. Les combats en équipes sont les plus populaires. Dans de tels affrontements, les coups sont portés à pleine puissance, et seules certaines techniques jugées trop dangereuses comme les coups d’estoc (c’est-à-dire portés avec la pointe, pour planter) ou les coups derrière les genoux sont interdites. Les coups de pieds, de poings, de genoux, les prises de corps à corps sont autorisés. L’équipe qui gagne est celle qui parvient à terminer la manche avec encore au moins un joueur debout sur ses deux jambes. Le but est donc de faire chuter les membres de l’équipe adverse par tous les moyens autorisés, l’arme à la main. Cette pratique se revendique héritière des tournois médiévaux, qu’elle entend remettre au goût du jour sous forme sportive, mais aussi culturelle de par sa dimension historique, qui transmet un savoir sur l’histoire de France, sur la chevalerie et sur la guerre au Moyen-Âge de façon ludique et spectaculaire. Cette pratique est apparue au XIIème siècle, a évolué jusqu’au XVIème siècle pour finalement s’éteindre et réapparaître aujourd’hui sous cette nouvelle forme sportive. © Bruno Bebert/Bestimage © BestImage, Bruno Bebert / Bestimage
Pierre Casiraghi fait du béhourd, un sport de combat qui date du Moyen Âge. Pierre Casiraghi a participé au tournoi de Béhourd (combat médiéval) de la Principauté de Monaco avec son équipe Les Grimaldi Milites sous le regard de son oncle le prince Albert II de Monaco, au chapiteau Fontvieille, France, le 15 juin 2024. Les monégasques ont rencontré l'équipe Martel, venant de Paris, les lyonnais de la Confrérie des Loups, Les Comtois de Franche Comté, les Faucons Noirs de Touraine et les Bannerets d'Auvergne. Les Grimaldi Milites ont terminé 3eme de ce tournoi. Le béhourd est une forme de combat médiéval. Il s’agit d’une adaptation contemporaine d’une pratique sportive et guerrière ancienne. Les compétiteurs s’y affrontent en armure complète, à pieds, avec des armes en acier qui ne sont ni pointues, ni tranchantes. Les combats en équipes sont les plus populaires. Dans de tels affrontements, les coups sont portés à pleine puissance, et seules certaines techniques jugées trop dangereuses comme les coups d’estoc (c’est-à-dire portés avec la pointe, pour planter) ou les coups derrière les genoux sont interdites. Les coups de pieds, de poings, de genoux, les prises de corps à corps sont autorisés. L’équipe qui gagne est celle qui parvient à terminer la manche avec encore au moins un joueur debout sur ses deux jambes. Le but est donc de faire chuter les membres de l’équipe adverse par tous les moyens autorisés, l’arme à la main. Cette pratique se revendique héritière des tournois médiévaux, qu’elle entend remettre au goût du jour sous forme sportive, mais aussi culturelle de par sa dimension historique, qui transmet un savoir sur l’histoire de France, sur la chevalerie et sur la guerre au Moyen-Âge de façon ludique et spectaculaire. Cette pratique est apparue au XIIème siècle, a évolué jusqu’au XVIème siècle pour finalement s’éteindre et réapparaître aujourd’hui sous cette nouvelle forme sportive. © Bruno Bebert/Bestimage
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Et il a même participé au tournoi organisé au chapiteau Fontvieille en France en juin 2024.

Pierre Casiraghi a participé au tournoi de Béhourd (combat médiéval) de la Principauté de Monaco avec son équipe Les Grimaldi Milites sous le regard de son oncle le prince Albert II de Monaco, au chapiteau Fontvieille, France, le 15 juin 2024. Les monégasques ont rencontré l'équipe Martel, venant de Paris, les lyonnais de la Confrérie des Loups, Les Comtois de Franche Comté, les Faucons Noirs de Touraine et les Bannerets d'Auvergne. Les Grimaldi Milites ont terminé 3eme de ce tournoi. Le béhourd est une forme de combat médiéval. Il s’agit d’une adaptation contemporaine d’une pratique sportive et guerrière ancienne. Les compétiteurs s’y affrontent en armure complète, à pieds, avec des armes en acier qui ne sont ni pointues, ni tranchantes. Les combats en équipes sont les plus populaires. Dans de tels affrontements, les coups sont portés à pleine puissance, et seules certaines techniques jugées trop dangereuses comme les coups d’estoc (c’est-à-dire portés avec la pointe, pour planter) ou les coups derrière les genoux sont interdites. Les coups de pieds, de poings, de genoux, les prises de corps à corps sont autorisés. L’équipe qui gagne est celle qui parvient à terminer la manche avec encore au moins un joueur debout sur ses deux jambes. Le but est donc de faire chuter les membres de l’équipe adverse par tous les moyens autorisés, l’arme à la main. Cette pratique se revendique héritière des tournois médiévaux, qu’elle entend remettre au goût du jour sous forme sportive, mais aussi culturelle de par sa dimension historique, qui transmet un savoir sur l’histoire de France, sur la chevalerie et sur la guerre au Moyen-Âge de façon ludique et spectaculaire. Cette pratique est apparue au XIIème siècle, a évolué jusqu’au XVIème siècle pour finalement s’éteindre et réapparaître aujourd’hui sous cette nouvelle forme sportive. © Bruno Bebert/Bestimage © BestImage, Bruno Bebert / Bestimage
Et il a même participé au tournoi organisé au chapiteau Fontvieille en France en juin 2024. Pierre Casiraghi a participé au tournoi de Béhourd (combat médiéval) de la Principauté de Monaco avec son équipe Les Grimaldi Milites sous le regard de son oncle le prince Albert II de Monaco, au chapiteau Fontvieille, France, le 15 juin 2024. Les monégasques ont rencontré l'équipe Martel, venant de Paris, les lyonnais de la Confrérie des Loups, Les Comtois de Franche Comté, les Faucons Noirs de Touraine et les Bannerets d'Auvergne. Les Grimaldi Milites ont terminé 3eme de ce tournoi. Le béhourd est une forme de combat médiéval. Il s’agit d’une adaptation contemporaine d’une pratique sportive et guerrière ancienne. Les compétiteurs s’y affrontent en armure complète, à pieds, avec des armes en acier qui ne sont ni pointues, ni tranchantes. Les combats en équipes sont les plus populaires. Dans de tels affrontements, les coups sont portés à pleine puissance, et seules certaines techniques jugées trop dangereuses comme les coups d’estoc (c’est-à-dire portés avec la pointe, pour planter) ou les coups derrière les genoux sont interdites. Les coups de pieds, de poings, de genoux, les prises de corps à corps sont autorisés. L’équipe qui gagne est celle qui parvient à terminer la manche avec encore au moins un joueur debout sur ses deux jambes. Le but est donc de faire chuter les membres de l’équipe adverse par tous les moyens autorisés, l’arme à la main. Cette pratique se revendique héritière des tournois médiévaux, qu’elle entend remettre au goût du jour sous forme sportive, mais aussi culturelle de par sa dimension historique, qui transmet un savoir sur l’histoire de France, sur la chevalerie et sur la guerre au Moyen-Âge de façon ludique et spectaculaire. Cette pratique est apparue au XIIème siècle, a évolué jusqu’au XVIème siècle pour finalement s’éteindre et réapparaître aujourd’hui sous cette nouvelle forme sportive. © Bruno Bebert/Bestimage
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Son club, Les Grimaldi Milites, a affronté plusieurs équipes françaises.

Pierre Casiraghi a participé au tournoi de Béhourd (combat médiéval) de la Principauté de Monaco avec son équipe Les Grimaldi Milites sous le regard de son oncle le prince Albert II de Monaco, au chapiteau Fontvieille, France, le 15 juin 2024. Les monégasques ont rencontré l'équipe Martel, venant de Paris, les lyonnais de la Confrérie des Loups, Les Comtois de Franche Comté, les Faucons Noirs de Touraine et les Bannerets d'Auvergne. Les Grimaldi Milites ont terminé 3eme de ce tournoi. Le béhourd est une forme de combat médiéval. Il s’agit d’une adaptation contemporaine d’une pratique sportive et guerrière ancienne. Les compétiteurs s’y affrontent en armure complète, à pieds, avec des armes en acier qui ne sont ni pointues, ni tranchantes. Les combats en équipes sont les plus populaires. Dans de tels affrontements, les coups sont portés à pleine puissance, et seules certaines techniques jugées trop dangereuses comme les coups d’estoc (c’est-à-dire portés avec la pointe, pour planter) ou les coups derrière les genoux sont interdites. Les coups de pieds, de poings, de genoux, les prises de corps à corps sont autorisés. L’équipe qui gagne est celle qui parvient à terminer la manche avec encore au moins un joueur debout sur ses deux jambes. Le but est donc de faire chuter les membres de l’équipe adverse par tous les moyens autorisés, l’arme à la main. Cette pratique se revendique héritière des tournois médiévaux, qu’elle entend remettre au goût du jour sous forme sportive, mais aussi culturelle de par sa dimension historique, qui transmet un savoir sur l’histoire de France, sur la chevalerie et sur la guerre au Moyen-Âge de façon ludique et spectaculaire. Cette pratique est apparue au XIIème siècle, a évolué jusqu’au XVIème siècle pour finalement s’éteindre et réapparaître aujourd’hui sous cette nouvelle forme sportive. © Bruno Bebert/Bestimage © BestImage, Bruno Bebert / Bestimage
Son club, Les Grimaldi Milites, a affronté plusieurs équipes françaises. Pierre Casiraghi a participé au tournoi de Béhourd (combat médiéval) de la Principauté de Monaco avec son équipe Les Grimaldi Milites sous le regard de son oncle le prince Albert II de Monaco, au chapiteau Fontvieille, France, le 15 juin 2024. Les monégasques ont rencontré l'équipe Martel, venant de Paris, les lyonnais de la Confrérie des Loups, Les Comtois de Franche Comté, les Faucons Noirs de Touraine et les Bannerets d'Auvergne. Les Grimaldi Milites ont terminé 3eme de ce tournoi. Le béhourd est une forme de combat médiéval. Il s’agit d’une adaptation contemporaine d’une pratique sportive et guerrière ancienne. Les compétiteurs s’y affrontent en armure complète, à pieds, avec des armes en acier qui ne sont ni pointues, ni tranchantes. Les combats en équipes sont les plus populaires. Dans de tels affrontements, les coups sont portés à pleine puissance, et seules certaines techniques jugées trop dangereuses comme les coups d’estoc (c’est-à-dire portés avec la pointe, pour planter) ou les coups derrière les genoux sont interdites. Les coups de pieds, de poings, de genoux, les prises de corps à corps sont autorisés. L’équipe qui gagne est celle qui parvient à terminer la manche avec encore au moins un joueur debout sur ses deux jambes. Le but est donc de faire chuter les membres de l’équipe adverse par tous les moyens autorisés, l’arme à la main. Cette pratique se revendique héritière des tournois médiévaux, qu’elle entend remettre au goût du jour sous forme sportive, mais aussi culturelle de par sa dimension historique, qui transmet un savoir sur l’histoire de France, sur la chevalerie et sur la guerre au Moyen-Âge de façon ludique et spectaculaire. Cette pratique est apparue au XIIème siècle, a évolué jusqu’au XVIème siècle pour finalement s’éteindre et réapparaître aujourd’hui sous cette nouvelle forme sportive. © Bruno Bebert/Bestimage
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La princesse Caroline de Hanovre et Christian Estrosi, le maire de Nice, étaient au musée des Beaux Arts Jules Chéret à Nice, le 7 juin 2024, pour le vernissage de l'exposition : "Berthe Morisot à Nice. Escales impressionnistes".
La princesse et le maire ont été guidés par Johanne Lindskog, la directrice du musée et la co-commissaire de l'exposition, et Marianne Mathieu, co-commissaire de l'exposition, accompagnés par Sylvain Amic, le président du musée d’Orsay, Carmelo Cassiba, le président du conseil municipal de Gênes, et Giuseppe Costa, le président du Palais des Doges.
En cette année qui célèbre les 150 ans de la naissance du mouvement impressionniste, la Ville de Nice et le musée des Beaux-Arts Jules Chéret consacrent une exposition de premier plan à Berthe Morisot. Conçue dans le cadre de l’opération territoriale du musée d’Orsay « Les 150 ans de l’impressionnisme », en partenariat avec le Palazzo Ducale de Gênes, et avec le soutien déterminant de la famille de l’artiste, « Berthe Morisot à Nice, escales impressionnistes » évoque les deux séjours de la peintre sur la Riviera lors des hivers 1881-1882 et 1888-1889. Ce projet exceptionnel, autour de la première femme à avoir participé aux expositions impressionnistes, explore des moments de la vie et de la création de la peintre qui n’avaient jusqu’ici jamais fait l’objet de recherches dédiées. Le musée des Beaux-Arts Jules Chéret rassemble pour la première fois une soixantaine de ses œuvres créées sur la Riviera, prêtées notamment par le musée d’Orsay, le musée Marmottan Monet, le Palais Princier de Monaco, le Nelson Atkins Museum de Kansas City, le musée national de Stockholm, le musée des Beaux-Arts de Lyon ainsi que de nombreuses autres collections publiques et privées.
© Bruno Bebert / Bestimage © BestImage, Bruno Bebert / Bestimage
La princesse Caroline de Hanovre et Christian Estrosi, le maire de Nice, étaient au musée des Beaux Arts Jules Chéret à Nice, le 7 juin 2024, pour le vernissage de l'exposition : "Berthe Morisot à Nice. Escales impressionnistes". La princesse et le maire ont été guidés par Johanne Lindskog, la directrice du musée et la co-commissaire de l'exposition, et Marianne Mathieu, co-commissaire de l'exposition, accompagnés par Sylvain Amic, le président du musée d’Orsay, Carmelo Cassiba, le président du conseil municipal de Gênes, et Giuseppe Costa, le président du Palais des Doges. En cette année qui célèbre les 150 ans de la naissance du mouvement impressionniste, la Ville de Nice et le musée des Beaux-Arts Jules Chéret consacrent une exposition de premier plan à Berthe Morisot. Conçue dans le cadre de l’opération territoriale du musée d’Orsay « Les 150 ans de l’impressionnisme », en partenariat avec le Palazzo Ducale de Gênes, et avec le soutien déterminant de la famille de l’artiste, « Berthe Morisot à Nice, escales impressionnistes » évoque les deux séjours de la peintre sur la Riviera lors des hivers 1881-1882 et 1888-1889. Ce projet exceptionnel, autour de la première femme à avoir participé aux expositions impressionnistes, explore des moments de la vie et de la création de la peintre qui n’avaient jusqu’ici jamais fait l’objet de recherches dédiées. Le musée des Beaux-Arts Jules Chéret rassemble pour la première fois une soixantaine de ses œuvres créées sur la Riviera, prêtées notamment par le musée d’Orsay, le musée Marmottan Monet, le Palais Princier de Monaco, le Nelson Atkins Museum de Kansas City, le musée national de Stockholm, le musée des Beaux-Arts de Lyon ainsi que de nombreuses autres collections publiques et privées. © Bruno Bebert / Bestimage
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La princesse Caroline de Hanovre et Christian Estrosi, le maire de Nice, étaient au musée des Beaux Arts Jules Chéret à Nice, le 7 juin 2024, pour le vernissage de l'exposition : "Berthe Morisot à Nice. Escales impressionnistes".
La princesse et le maire ont été guidés par Johanne Lindskog, la directrice du musée et la co-commissaire de l'exposition, et Marianne Mathieu, co-commissaire de l'exposition, accompagnés par Sylvain Amic, le président du musée d’Orsay, Carmelo Cassiba, le président du conseil municipal de Gênes, et Giuseppe Costa, le président du Palais des Doges.
En cette année qui célèbre les 150 ans de la naissance du mouvement impressionniste, la Ville de Nice et le musée des Beaux-Arts Jules Chéret consacrent une exposition de premier plan à Berthe Morisot. Conçue dans le cadre de l’opération territoriale du musée d’Orsay « Les 150 ans de l’impressionnisme », en partenariat avec le Palazzo Ducale de Gênes, et avec le soutien déterminant de la famille de l’artiste, « Berthe Morisot à Nice, escales impressionnistes » évoque les deux séjours de la peintre sur la Riviera lors des hivers 1881-1882 et 1888-1889. Ce projet exceptionnel, autour de la première femme à avoir participé aux expositions impressionnistes, explore des moments de la vie et de la création de la peintre qui n’avaient jusqu’ici jamais fait l’objet de recherches dédiées. Le musée des Beaux-Arts Jules Chéret rassemble pour la première fois une soixantaine de ses œuvres créées sur la Riviera, prêtées notamment par le musée d’Orsay, le musée Marmottan Monet, le Palais Princier de Monaco, le Nelson Atkins Museum de Kansas City, le musée national de Stockholm, le musée des Beaux-Arts de Lyon ainsi que de nombreuses autres collections publiques et privées.
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La princesse Caroline de Hanovre et Christian Estrosi, le maire de Nice, étaient au musée des Beaux Arts Jules Chéret à Nice, le 7 juin 2024, pour le vernissage de l'exposition : "Berthe Morisot à Nice. Escales impressionnistes". La princesse et le maire ont été guidés par Johanne Lindskog, la directrice du musée et la co-commissaire de l'exposition, et Marianne Mathieu, co-commissaire de l'exposition, accompagnés par Sylvain Amic, le président du musée d’Orsay, Carmelo Cassiba, le président du conseil municipal de Gênes, et Giuseppe Costa, le président du Palais des Doges. En cette année qui célèbre les 150 ans de la naissance du mouvement impressionniste, la Ville de Nice et le musée des Beaux-Arts Jules Chéret consacrent une exposition de premier plan à Berthe Morisot. Conçue dans le cadre de l’opération territoriale du musée d’Orsay « Les 150 ans de l’impressionnisme », en partenariat avec le Palazzo Ducale de Gênes, et avec le soutien déterminant de la famille de l’artiste, « Berthe Morisot à Nice, escales impressionnistes » évoque les deux séjours de la peintre sur la Riviera lors des hivers 1881-1882 et 1888-1889. Ce projet exceptionnel, autour de la première femme à avoir participé aux expositions impressionnistes, explore des moments de la vie et de la création de la peintre qui n’avaient jusqu’ici jamais fait l’objet de recherches dédiées. Le musée des Beaux-Arts Jules Chéret rassemble pour la première fois une soixantaine de ses œuvres créées sur la Riviera, prêtées notamment par le musée d’Orsay, le musée Marmottan Monet, le Palais Princier de Monaco, le Nelson Atkins Museum de Kansas City, le musée national de Stockholm, le musée des Beaux-Arts de Lyon ainsi que de nombreuses autres collections publiques et privées. © Bruno Bebert / Bestimage
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