Chaque apparition médiatique de Pierre Casiraghi est un événement, l’héritier monégasque se fait très discret sur sa vie privée. Dans le nouveau numéro de The Good Life paru ce mercredi 26 mars 2025, ce n’est pas de son quotidien d’héritier monégasque qu’on parle mais plutôt de sa passion débordante pour la mer et la navigation. En effet, il participera à l’Admiral’s Cup, une course au large de voiliers à laquelle Monaco participe pour la première fois cette année, prévue du 17 juillet au 1er août 2025 aux abords de l’île de Wight, son défi du moment. C’est d’ailleurs sur Tuiga, son voilier fétiche que le frère de Charlotte recevra nos confrères de The Good Life.
Au cours de cet entretien exclusif, on apprend également que Pierre Casiraghi est fan d’un sport de combat très peu connu : le béhourd. Cette pratique étonnante date du Moyen Âge et implique l’utilisation d’armes et d’armures issues de cette époque. Elle s’exerce en duel ou en équipe, et pendant les combats de masse, une équipe l’emporte quand elle met ses adversaires à terre. La renaissance du béhourd date des années 1990 en Russie et sa pratique contemporaine a été importée en France par Edouard Eme en 2011. En juin 2024, Pierre Casiraghi a participé au tournoi de Béhourd (combat médiéval) de la Principauté de Monaco avec son équipe Les Grimaldi Milites sous le regard de son oncle le prince Albert II de Monaco, au chapiteau Fontvieille en France.

Si The Good Life consacrait plutôt son papier à Pierre Casiraghi, le navigateur et vice président du Match Club de Monaco, l’homme de 37 ans a quand même abordé avec pudeur son défunt père. Il a perdu son père en étant enfant et peu de souvenirs demeurent, mais le fils de Caroline de Monaco perpétue son héritage avec une élégance infinie. "J’ai trouvé des costumes Dior de mon père que j’ai fait retailler", explique-t-il au magazine, "Dior fait de très belles vestes dans lesquelles je suis à l’aise, et qui ne masquent pas ma personnalité." Pour rappel, son père Stefano Casiraghi est tragiquement décédé lors d’un accident de la mer dans les eaux de Saint-Jean-Cap-Ferrat entre Cannes, Monte-Carlo et Nice, le 3 octobre 1990 alors que Pierre n’était âgé que de trois ans.