Citizen K
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Roxane Mesquida a littéralement illuminé le tapis rouge du Festival de Cannes 2010 de sa présence : elle y défendait ses deux nouveaux longs-métrage, Kaboom, que l'on doit au Californien Gregg Araki et présenté en séance de minuit, ainsi que Rubber, projeté dans le cadre de la Semaine de la Critique, attendu dans les salles françaises pour le 15 septembre 2010. Elle nous accordait même, à cette occasion, une interview exclusive dans les règles de l'art.
Aujourd'hui, le magazine Citizen K lui offre sa couverture et dévoile une série de clichés pris dans un cadre baroque et aristocratique. L'occasion pour la muse de la très sulfureuse Catherine Breillat de s'exprimer sur sa carrière, ses envies et son amour du cinéma indépendant...
"(Etre l'égérie de Catherine Breillat m'a desservie) c'est l'évidence ! Mais je m'en fiche. J'irai jusqu'au bout avec Catherine. Celle que je suis aujourd'hui, je le lui dois. C'est (elle) qui m'a tout appris de mon métier. Jamais je n'ai eu le sentiment d'avoir affaire à la personne hyper complexe et autoritaire que les journalistes décrivent. Catherine est une femme formidablement intelligente et j'ai une chance inouïe de la connaître", confie l'intrépide Roxane Mesquida au sujet de sa mère de coeur.
Une collaboration qui lui aura malgré tout ouvert de nombreuses portes puisqu'elle raconte que c'est grâce à cette visibilité qu'elle a décroché le rôle qu'elle défend aujourd'hui dans Kaboom : "Si Gregg Araki a pensé à moi pour le personnage de Lorelei, la lesbienne nymphomane de Kaboom, c'est aussi parce qu'il connaît et admire le cinéma de Catherine", poursuit-elle.
A défaut d'avoir remporté la Palme d'or, Kaboom a décroché la Queer Palm, la récompense officieuse du film gay de l'année... Bravo !
JO
Aujourd'hui, le magazine Citizen K lui offre sa couverture et dévoile une série de clichés pris dans un cadre baroque et aristocratique. L'occasion pour la muse de la très sulfureuse Catherine Breillat de s'exprimer sur sa carrière, ses envies et son amour du cinéma indépendant...
"(Etre l'égérie de Catherine Breillat m'a desservie) c'est l'évidence ! Mais je m'en fiche. J'irai jusqu'au bout avec Catherine. Celle que je suis aujourd'hui, je le lui dois. C'est (elle) qui m'a tout appris de mon métier. Jamais je n'ai eu le sentiment d'avoir affaire à la personne hyper complexe et autoritaire que les journalistes décrivent. Catherine est une femme formidablement intelligente et j'ai une chance inouïe de la connaître", confie l'intrépide Roxane Mesquida au sujet de sa mère de coeur.
Une collaboration qui lui aura malgré tout ouvert de nombreuses portes puisqu'elle raconte que c'est grâce à cette visibilité qu'elle a décroché le rôle qu'elle défend aujourd'hui dans Kaboom : "Si Gregg Araki a pensé à moi pour le personnage de Lorelei, la lesbienne nymphomane de Kaboom, c'est aussi parce qu'il connaît et admire le cinéma de Catherine", poursuit-elle.
A défaut d'avoir remporté la Palme d'or, Kaboom a décroché la Queer Palm, la récompense officieuse du film gay de l'année... Bravo !
JO