Marie France© Mark Abrahams/Mao-Agence A
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A 45 ans, Sarah Jessica Parker a endossé le costume du personnage qu'elle incarne depuis 1998 à la télé : Carrie Bradshaw. La star américaine revient pour le second volet de Sex and the City au cinéma et retrouve ses amies Kim Cattrall (Samantha), Cynthia Nixon (Miranda) et Kristin Davis (Charlotte). Avant la sortie du film le 2 juin, les magazines s'arrachent cette icône de la mode qu'est devenue SJP, cette fois, Marie France tente d'en savoir plus sur la comédienne, et la femme ! Extraits.
Enfant, Sarah Jessica était bien loin de la capricieuse matérialiste que peut-être parfois son personnage Carrie : "Nous étions huit enfants à la maison [issus de deux lits différents, ndlr.]. Chaque dollar dépensé comptait." Elle se souvient que certains Noël, il n'avait pas forcément de cadeaux pour des raisons financières.
Côté éducation sexuelle, elle raconte son apprentissage : "Mes parents n'avaient donc pas vraiment le temps de nous briefer sur ces questions-là. [...] En d'autres termes, le sexe, ce n'était ni bien, ni mal." Cela ne l'a pas empêché d'avoir une idée bien précise des garçons qui l'intéressaient : "Les garçons qui n'avaient pas de classe et ne pensaient qu'à me sauter dessus après m'avoir offert un drink n'avaient aucune chance avec moi !"
Si Carrie donne l'image d'une femme un peu instable sentimentalement parlant, SJP est tout l'inverse. Sa recette pour que son mariage avec Matthew Broderick dure depuis 1997 ? "Un couple qui dure, qui résiste, c'est un couple qui a compris qu'il n'y a pas que le sexe ! Il faut aussi une fusion intellectuelle." La maman de James et des jumelles Marion et Tabitha précise d'ailleurs en riant que c'est elle qui porte la culotte à la maison ! Cela lui permet de pouvoir gérer le budget de la maison, et donc de s'acheter toutes les chaussures qu'elle veut, puisqu'elle est une shoe addict, surtout de Manolo Blahnik ! Finalement, elle a bien un peu de "Carrie" en elle !
Enfant, Sarah Jessica était bien loin de la capricieuse matérialiste que peut-être parfois son personnage Carrie : "Nous étions huit enfants à la maison [issus de deux lits différents, ndlr.]. Chaque dollar dépensé comptait." Elle se souvient que certains Noël, il n'avait pas forcément de cadeaux pour des raisons financières.
Côté éducation sexuelle, elle raconte son apprentissage : "Mes parents n'avaient donc pas vraiment le temps de nous briefer sur ces questions-là. [...] En d'autres termes, le sexe, ce n'était ni bien, ni mal." Cela ne l'a pas empêché d'avoir une idée bien précise des garçons qui l'intéressaient : "Les garçons qui n'avaient pas de classe et ne pensaient qu'à me sauter dessus après m'avoir offert un drink n'avaient aucune chance avec moi !"
Si Carrie donne l'image d'une femme un peu instable sentimentalement parlant, SJP est tout l'inverse. Sa recette pour que son mariage avec Matthew Broderick dure depuis 1997 ? "Un couple qui dure, qui résiste, c'est un couple qui a compris qu'il n'y a pas que le sexe ! Il faut aussi une fusion intellectuelle." La maman de James et des jumelles Marion et Tabitha précise d'ailleurs en riant que c'est elle qui porte la culotte à la maison ! Cela lui permet de pouvoir gérer le budget de la maison, et donc de s'acheter toutes les chaussures qu'elle veut, puisqu'elle est une shoe addict, surtout de Manolo Blahnik ! Finalement, elle a bien un peu de "Carrie" en elle !
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