Elle a, pendant longtemps, été le meilleur bras droit qu'un animateur pouvait demander. Icône de la télévision, Sophie Favier a souvent fonctionné en binôme... et surtout avec Christophe Dechavanne. Ensemble, les deux animateurs ont fait les beaux jours de la première chaîne, dans les émissions Ciel, mon mardi ! ou encore Coucou c'est nous ! Mais peu à peu, la Lyonnaise a disparu de nos écrans et ses relations avec son ancien complice ne semblent pas être au beau fixe. Quand on lui pose la question, en tout cas, elle utilise une savante pirouette.
Ce n'est pas mon rôle...
"Il y a deux sempiternelles questions qui me reviennent, a-t-elle expliqué le 28 juillet 2022 lors d'un live Instagram organisé avec Adeline Blondieau. Est-ce que Christophe Dechavanne était vraiment gentil, et de quoi je vis aujourd'hui, ça suppose financièrement. Moi je dis que j'ai essayé de gérer correctement mon argent, je me suis acheté un petit toit sur la tête, j'ai essayé de n'être pas être trop bête on va dire. Et puis pour la première question, sur Christophe Dechavanne, je n'irai pas dire du mal parce que de toute façon ce n'est pas mon rôle. Je sais bien que les gens seraient ravis que je puisse déblatérer mais c'est pas mon truc, ça me saoule."
On n'a jamais eu de discussions sur le sujet
Sophie Favier a déjà été plus bavarde que ça, à ce sujet, par le passé. Pour rappel, sa brouille avec Christophe Dechavanne date de la fin de l'émission Sans interdit, sur TF1, que le producteur aurait stoppé malgré son succès d'audience parce qu'il trouvait l'animatrice "mauvaise". "En fait, j'étais invitée chez Ardisson et il me dit : 'Mais vous ne pensez pas qu'il a brisé votre carrière ?' Et ça a été repris. Il a été malin, c'est son fond de commerce, rappelait la compagne de Bruno Proost en 2017 dans C'est que de la télé. De toute façon, je n'avais rien à dire puisque comme Christophe l'a dit : en tant que producteur, il a le droit d'arrêter une émission. On n'a jamais eu de discussions sur le sujet. Je ne suis en aucun cas fâchée avec Christophe."