CBS avait promis que l'interview exclusive de Meghan Markle et du prince Harry, réalisée par Oprah Winfrey serait explosive, elle l'a été. Seule note joyeuse de cet entretien, le sexe de leur deuxième enfant qui a été révélé. Le petit Archie (1 an et demi) aura bientôt une petite soeur puisque sa maman est enceinte d'une petite fille. A part cette annonce heureuse, de nombreux reproches et de lourdes accusations. La couleur de peau d'Archie aurait été une grande source d'inquiétude au sein de la famille royale britannique, ce qui l'aurait empêché de porter le titre de prince. Face à la pression, la duchesse de Sussex a songé au suicide alors qu'elle était enceinte de son fils.
Nombreux sont les experts en royauté à avoir décrypté, décortiqué même, l'interview de Meghan Markle et le prince Harry. Stéphane Bern a été sollicité par BFMTV pour donner son avis, très tranché.
Le spécialiste des têtes couronnées a concédé qu'il existe un climat extrêmement tendu entre la royauté britannique et Meghan et Harry. "Entre le palais (de Buckingham ndlr) et Meghan et Harry, les couteaux sont sur la table en ce moment. Y a une guerre de tranchées si je puis dire. Elle a envoyé un certain nombre de bombes à Buckingham, Buckingham a répliqué, notamment avec la révélation, par le Times, qu'il y a des plaintes qui sont déposées contre Meghan pour tyrannie pour harcèlement moral", a recontextualisé Stéphane Bern.
Pour le journaliste de 57, le constat est simple, Meghan Markle a "déchanté". "Quand vous êtes une actrice, Américaine, vous pensez avoir la préséance, mais en réalité, cette cour d'Angleterre, c'est sacrificiel. Vous devez abandonner qui vous êtes, a analysé Stéphane Bern. Kate Middleton le fait parfaitement bien, c'est comme si elle avait été programmé pour ça et son mari, William, est prisonnier de ce système. (...) Elle (Meghan ndlr) s'est sentie à l'étroit, elle s'est sentie abandonnée, mal à l'aise, parce qu'elle n'avait pas le premier rôle."
Stéphane Bern n'a donc pas été touché par les propos tenus par Meghan et Harry dans leur interview, on l'aura bien compris. "J'ai plein de compassion pour leur récit mais en même temps, on vit une pleine pandémie, avec des millions de mort à travers le monde, ils sont partis avec 45 millions d'euros, j'ai du mal, au bout d'un moment, à pleurer sur leur sort", a-t-il lâché, s'excusant d'être aussi "direct".
Pour Stéphane Bern, le verdict est sans appel. Meghan Markle s'apparente avant tout à "une petite fille riche, qui était une star". Voilà un avis sans langue de bois !