Tori Spelling endettée : Sa mère Candy refuse de couvrir ses "extravagances"

Les déboires financiers de Tori Spelling qui ont fait les choux gras de la presse tabloïd l'été dernier se confirment.

L'actrice de 42 ans est attaquée en justice par l'entreprise American Express pour défaut de paiement. Selon les informations du site Entertainment Tonight, qui s'est procuré une copie de la plainte en question, l'ancienne star de la série Beverly Hills devrait pas moins de 38 000 dollars à la société américaine à qui elle n'a honoré aucun des paiements dont elle leur est redevable.

Les difficultés financières de la star sont telles, que les journalistes du site TMZ.com précisent qu'un paiement d'un montant de 1 070 dollars, qu'elle a tenté d'émettre, lui a finalement été refusé. "Pas un centime de cette somme n'a été perçue bien qu'une demande de paiement ait effectivement été faite", peut-on lire sur les documents de justice officiels. La femme de Dean McDermott est carrément dans le rouge !

Face à ce découvert abyssal, la fille du regretté et richissime producteur américain Aaron Spelling ne pourra visiblement pas compter sur le soutien de sa mère Candy Spelling qui a touché le pactole au moment de l'héritage, contrairement à elle et son frère Randy (37 ans).

Interrogée par les journalistes du site TMZ, la veuve âgée de 70 ans a assuré qu'elle ne dépenserait pas un centime de plus pour couvrir les frivolités de sa fille. "Je l'ai déjà aidée. Je paie toutes ces factures, toutes excepté ce genre de suppléments. Je ne rembourserai aucun arriéré, je paie déjà pour la maison, l'école des enfants et les courses", a-t-elle fait savoir à la sortie du restaurant Madeo à West Hollywood cette semaine. Puis de rajouter que les récentes dettes de sa fille n'étaient certainement rien d'autre que le fruit de son "extravagance".

D'ailleurs, plutôt que d'aller travailler pour rembourser ce qu'elle doit, la maman de Liam (8 ans), Stella (7 ans), Hattie (4 ans) et Finn (3 ans) préfère aller se faire masser et courir les boutiques. On comprend que sa mère commence à saturer !

Coline Chavaroche