Trois Princes à Paris : La sexy Karen, payée par la prod pour être séduite !

Diffusée le dimanche à 17h55, l'émission de télé-réalité Trois princes à Paris a été déprogrammée après seulement deux semaines de diffusion. Le programme produit par Coyote (qui appartient à Christophe Dechavanne), inspiré d'un concept britannique baptisé Undercover Princes, était censé suivre trois princes à la recherche de l'amour, dans la capitale.

Souvenez-vous, le prince Tidjani, le prince Yadvendra et le prince Luc étaient les protagonistes de l'émission, et devaient tout faire pour trouver leurs futures épouses, en se glissant dans la peau de Français comme les autres, afin qu'elles les aiment pour ce qu'ils sont et non pour le prestige.

Alors que les téléspectateurs n'auront pas le bonheur de découvrir la suite des épisodes faute d'audience suffisante, l'une des prétendantes du programme balance - et en profite pour se dévoiler ! - ce mois-ci dans le magazine Entrevue. Amélie, dite Karen, belle brune aux yeux verts et à la chute de reins érotique, confie avoir été rémunérée par la production pour se laisser séduire par l'un des princes. "En fait, j'ai été castée avant le tournage. Mais les princes, eux, n'étaient pas dans la confidence...", explique-t-elle.

C'est dans un bar, où elle se trouvait avec d'autres jeunes femmes, qu'elle s'est laissé aborder par le souverain. "Après notre 'rencontre', il souhaitait me revoir. Du coup, la production a joué les go-between. Forcément, j'ai dit oui, même si je n'étais pas séduite, contrairement à ce que j'avoue à la caméra. J'étais dans mon rôle de comédienne, c'est mon métier !", a lancé la jolie créature.

Elle relate qu'à l'issue d'un dîner, Tidjani Ramonnou du Bénin l'avait invitée à l'accompagner dans sa chambre, ce qu'elle a fait mais seulement pour visiter les lieux. "La prod' m'a prévenue de tout arrêter avant que cela n'aille trop loin, donc je lui ai fait comprendre qu'il n'y avait pas de feeling entre nous. Malgré tout, il m'a relancée pendant le tournage. Tidjani, c'est un peu le dindon de la farce dans cette histoire..." Ainsi, la production a clairement manipulé les héros du programme, en défrayant des femmes pour qu'elles tombent dans leurs bras, alors qu'ils étaient censés séduire avec talent des anonymes. Pour preuve, Karen produit même sa fiche de paie (elle a reçu deux cachets de 120 euros brut).

Des méthodes peu éthiques mais finalement peu surprenantes...

L.R