A l'occasion de la sortie imminente du film en France, les avant-premières ont aussi commencé à fleurir chez nous et à ce titre, nous vous proposions récemment les réactions des people à la vision de ce film exaltant à l'incroyable esthétique.
Aujourd'hui, ce son d'autres réactions que nous vous proposons... celles d'enfants ! Emerveillés par la vision du film et la forme très vidéoludique de l'ensemble, nos petites têtes blondes ont été fascinées par l'univers du long métrage, comme vous pouvez le découvrir dans la vidéo que nous vous proposons ci-dessus.
Un film qu'ils ont trouvé très... "puuuure !"
Pour rappel, voici toutes les infos sur Tron Legacy, en salles le 9 février 2011 :
La genèse :
Il y a 28 ans sortait Tron, un film de science-fiction produit par les studios Disney qui allait déjà, à son époque, révolutionner le cinéma en général et les effets visuels en particulier, repoussant les limites des images générées par ordinateur. L'influence du film allait même, au-delà de changer radicalement la façon de faire des films, influencer d'autres domaines artistiques comme le design, la mode ou l'architecture.
L'excellent Jeff Bridges (Starman, The Big Lebowski, Oscar du meilleur acteur en 2010 pour son rôle dans Crazy Heart et bientôt dans le western des frères Coen True Grit) y incarnait un créateur de jeux vidéo qui se trouvait projeté dans un monde virtuel, singulier et terrifiant, dont il ne pouvait ressortir.
Aujourd'hui, près de trente ans après le premier opus et grâce aux progrès conséquents en matière d'effets spéciaux, le jeune réalisateur Joseph Kosinski (qui vient de l'univers de la pub) a enfin tourné cette suite intitulée Tron Legacy (Tron L'Héritage, en français).
Les personnages :
Trente après, Jeff Bridges (voir son interview) reprend son rôle de génie informatique toujours piégé dans son propre jeu. L'acteur américain campe d'ailleurs deux personnages : celui du créateur du jeu piégé dans son univers - Kevin Flynn -, mais aussi celui de son diabolique avatar - Clu, le très vilain de l'histoire -, que Jeff a également incarné avant d'être rajeuni en postproduction (sur le même principe que Brad Pitt dans L'étrange histoire de Benjamin Button). Le résultat est à couper le souffle.
Le jeune Garrett Hedlund, vu dans Quatre frères, Eragon et bientôt dans Country Strong, incarne Sam Flynn, le fils de Kevin, qui n'a pas vu son père depuis 28 ans. Sans repères, rebelle, il trouve par hasard le moyen d'entrer dans l'univers de Tron, avec comme seule mission, retrouver et libérer son père du monde qu'il a lui-même créé.
La très belle Olivia Wilde, dont la plastique et le sourire ne sont pas étrangers aux fans de la série à succès Dr. House, et que nous retrouverons bientôt dans Cowboys & Aliens, campe Quorra, une superbe jeune femme plongée dans l'univers de Tron et qui aidera comme elle le peut notre jeune héros à retrouver son père.
Le comédien britannique Michael Sheen, que l'on a pu voir en Tony Blair dans The Queen et en chef des vampires dans la saga Twilight , est quant à lui méconnaissable dans le rôle de Castor, le tenancier du night-club de Tron, véritable point de repère dans cet univers virtuel, où tout se décide et se monnaye.
L'histoire de ce nouvel opus :
Sam Flynn (incarné par Garrett Hedlund) travaille à la Tech-Savvy. Il n'est autre que le fils de Kevin Flynn (Jeff Bridges), qui a disparu depuis plus de 25 ans dans un monde numérique et féroce. Le fils va partir à la recherche du père avec son amie Quorra (Olivia Wilde), et ils vont se retrouver plongés dans un cyber-univers complètement fou, pour un voyage visuel magnifique et trépidant. Une fois Kevin retrouvé, ils vont tous trois être engagés dans un voyage d'une importance vitale à travers un univers numérique stupéfiant et extrêmement dangereux.
Si les scènes dans le monde réel ont été tournées en 2D, toutes les images dans l'univers de Tron ont été exclusivement réalisées en 3D, pour une exploitation en salles qui se fera aussi uniquement avec cette technologie, et que nous pourrons découvrir dans toutes les salles équipées dès le 9 février 2011.
A.I.