Valérie Lemercier sur le plateau du Grand Journal de Canal+ lors du Festival de Cannes le 21 mai 2012© Abaca
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Adieu Berthe ou l'enterrement de Mémé commence par une mort, et pourtant, ce film a égayé la Croisette. Présenté à la Quinzaine des réalisateurs, section parallèle à la sélection officielle du Festival de Cannes, la comédie de Bruno Podalydès a réjoui les festivaliers par son ton décalé, ses situations absurdes, ses détails farfelues et, bien sûr, sa distribution. Le premier rôle, le réalisateur l'a offert à son frère, Denis, comme il l'a déjà fait par le passé (Liberté Oléron, Le Mystère de la chambre jaune). Et celui-ci donne la réplique à Isabelle Candelier, Michel Vuillermoz, Pierre Arditi et Valérie Lemercier. Cette dernière a bien failli ne pas faire partie de l'aventure et rater son "premier vrai rôle d'amoureuse" selon Libération.
Un beau portrait de Valérie Lemercier dans le quotidien national nous apprend que la comédienne et réalisatrice ne pouvait, dans un premier temps, assurer de rôle dans Adieu Berthe, du fait d'un agenda trop chargé : "Et puis j'ai vu la tête des frères Podalydès. Ils étaient déçus, mais tellement pas combatifs, une sorte d'abattement résigné. Ça m'a convaincue."
Ouf ! Elle a donc trouvé du temps pour incarner la maîtresse du personnage de Denis Podalydès, un pharmacien qui ne sait jamais choisir et qui fait face à l'enterrement de Mémé, sa grand-mère qu'il avait un peu "oubliée". Libération estime qu'elle a obtenu "un premier vrai rôle d'amoureuse, un champ d'exploration comique" : "L'amour, c'est drôle, bien sûr ! L'amant dans le placard, quoi qu'on en dise, c'est éternel," ajoute l'actrice. A la place de l'amante dans Adieu Berthe, elle apprécie cette position qui pourrait paraître inconfortable : "C'est pas si mal, cette position de maîtresse, un peu backstage. Moi, j'ai beaucoup de problèmes avec certaines choses du couple installé. Etre à deux dans une voiture pour partir en vacances, par exemple."
Excellente comédienne, on l'attend de nouveau en tant que réalisatrice pour 100% Cachemire, mais aussi en héroïne dansante du film de Valérie Donzelli, Main dans la main, mais avant tout dans Astérix et Obélix : Au service de Sa Majesté, où elle fait tourner la tête... du gros Gaulois, en salles le 17 octobre.
Adieu Berthe, dans les salles le 20 juin
Un beau portrait de Valérie Lemercier dans le quotidien national nous apprend que la comédienne et réalisatrice ne pouvait, dans un premier temps, assurer de rôle dans Adieu Berthe, du fait d'un agenda trop chargé : "Et puis j'ai vu la tête des frères Podalydès. Ils étaient déçus, mais tellement pas combatifs, une sorte d'abattement résigné. Ça m'a convaincue."
Ouf ! Elle a donc trouvé du temps pour incarner la maîtresse du personnage de Denis Podalydès, un pharmacien qui ne sait jamais choisir et qui fait face à l'enterrement de Mémé, sa grand-mère qu'il avait un peu "oubliée". Libération estime qu'elle a obtenu "un premier vrai rôle d'amoureuse, un champ d'exploration comique" : "L'amour, c'est drôle, bien sûr ! L'amant dans le placard, quoi qu'on en dise, c'est éternel," ajoute l'actrice. A la place de l'amante dans Adieu Berthe, elle apprécie cette position qui pourrait paraître inconfortable : "C'est pas si mal, cette position de maîtresse, un peu backstage. Moi, j'ai beaucoup de problèmes avec certaines choses du couple installé. Etre à deux dans une voiture pour partir en vacances, par exemple."
Excellente comédienne, on l'attend de nouveau en tant que réalisatrice pour 100% Cachemire, mais aussi en héroïne dansante du film de Valérie Donzelli, Main dans la main, mais avant tout dans Astérix et Obélix : Au service de Sa Majesté, où elle fait tourner la tête... du gros Gaulois, en salles le 17 octobre.
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