Couverture de La Parisienne, avec Vanessa Paradis
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Voix d'une délicieuse chanteuse de cabaret dans le dessin animé Un monstre à Paris, Vanessa Paradis va continuer de faire le bonheur des salles de cinéma avec deux films qui sortiront au mois de janvier prochain, Café de Flore et Dubaï Flamingo. Passionnée par son métier d'artiste, que ce soit celui de comédienne ou de chanteuse - il se murmure que Benjamin Biolay serait aux manettes d'un prochain album -, la compagne de Johnny Depp a répondu à l'appel de La Parisienne, acceptant de poser pour une série de photos luxueuses, et se confiant à la journaliste avec sincérité, même sur sa vie privée, elle qu'on sait si discrète.
Dans Café de Flore, elle incarne une mère célibataire dans les années 1960 qui se bat plus que tout pour son fils trisomique : "Cette histoire m'a rappelé des choses très personnelles... Je ne peux pas vous raconter ma vie, mais entre les choses j'ai vécues perosnnellement et celles que j'ai vécues par amour pour mes amis, j'ai été emportée par ce scénario." Pour ce long métrage du réalisateur de C.R.A.Z.Y, Jean-Marc Vallée, elle s'est voulue aussi crédible que possible, avec des costumes sobres et très peu de maquillage : "Cela ne m'a posé aucun problème, je n'ai pas peur d'être laide." Ce qui l'importait, c'était d'être au plus près de ce personnage qui se laisse dévorer par son amour pour son fils, expliquant que : "Par définition, une mère est une femme qui vit la peur au ventre."
De nature secrète, Vanessa Paradis n'est pas du genre à s'étaler sur son existence, se laissant parfois à quelques commentaires. D'ailleurs, quand Johnny Depp avait un jour fait des confidences à la presse sur la maladie de l'une de leurs deux enfants, Lily-Rose, elle n'était pas contente. Même Marlon Brando - qu'il a dirigé dans son film The Brave - s'était fâché : "Qu'est-ce que tu fous bordel ? C'est pas leurs oignons !"
Puis dans un élan romantique, Vanessa Paradis parle de sa vision de l'amour : "L'idée d'âme soeur est magnifique et très romantique pour en parler dans une film ou dans une chanson, mais en réalité, je trouve ça flippant. [...] Pourquoi ne pas simplement se dire, c'est mon amour, c'est mon grand amour..." Elle s'avance même sur le sujet du mariage : "C'est romantique et la fête est sympathique, mais c'est un peu comme l'âme soeur : me dire que je sais où je suis et que je sais où je finirirai, je ne le conçois pas. [...] Je vois tellement de gens qui se déchirent dans mon entourage. Peu importe les cérémonies, j'ai la certitude d'aimer et de ne pas avoir envie d'autre chose."
Retrouvez l'intégralité de l'entretien dans La Parisienne, supplément du Parisien du 3 décembre.
Dans Café de Flore, elle incarne une mère célibataire dans les années 1960 qui se bat plus que tout pour son fils trisomique : "Cette histoire m'a rappelé des choses très personnelles... Je ne peux pas vous raconter ma vie, mais entre les choses j'ai vécues perosnnellement et celles que j'ai vécues par amour pour mes amis, j'ai été emportée par ce scénario." Pour ce long métrage du réalisateur de C.R.A.Z.Y, Jean-Marc Vallée, elle s'est voulue aussi crédible que possible, avec des costumes sobres et très peu de maquillage : "Cela ne m'a posé aucun problème, je n'ai pas peur d'être laide." Ce qui l'importait, c'était d'être au plus près de ce personnage qui se laisse dévorer par son amour pour son fils, expliquant que : "Par définition, une mère est une femme qui vit la peur au ventre."
De nature secrète, Vanessa Paradis n'est pas du genre à s'étaler sur son existence, se laissant parfois à quelques commentaires. D'ailleurs, quand Johnny Depp avait un jour fait des confidences à la presse sur la maladie de l'une de leurs deux enfants, Lily-Rose, elle n'était pas contente. Même Marlon Brando - qu'il a dirigé dans son film The Brave - s'était fâché : "Qu'est-ce que tu fous bordel ? C'est pas leurs oignons !"
Puis dans un élan romantique, Vanessa Paradis parle de sa vision de l'amour : "L'idée d'âme soeur est magnifique et très romantique pour en parler dans une film ou dans une chanson, mais en réalité, je trouve ça flippant. [...] Pourquoi ne pas simplement se dire, c'est mon amour, c'est mon grand amour..." Elle s'avance même sur le sujet du mariage : "C'est romantique et la fête est sympathique, mais c'est un peu comme l'âme soeur : me dire que je sais où je suis et que je sais où je finirirai, je ne le conçois pas. [...] Je vois tellement de gens qui se déchirent dans mon entourage. Peu importe les cérémonies, j'ai la certitude d'aimer et de ne pas avoir envie d'autre chose."
Retrouvez l'intégralité de l'entretien dans La Parisienne, supplément du Parisien du 3 décembre.