Vincent Elbaz fête ses 52 ans, ce vendredi 3 février. Un anniversaire que devrait très certainement lui souhaiter sa fille aînée Anna, née en 2007 de sa précédente relation avec la Danoise Mette Berggreen. Une chorégraphe de profession, qui est également actrice puisqu'en 2000, elle participait à Dancer in the Dark. Un chef d'oeuvre devenu culte, puisqu'il fut notamment primé au Festival de Cannes. Il s'agit du troisième opus de la "trilogie coeur en or", après Breaking the Waves et Les Idiots. Un long-métrage qui mêle drame et film musical.
A noter qu'elle a également aidé le père de sa fille à réaliser des pas de danse pour les besoins du film J'aurais voulu être un danseur, sorti en 2005. Aujourd'hui, ils vivent donc chacun de leur côté. Vincent Elbaz a rencontré Fanny Conquy, une journaliste politique qui a travaillé pour iTélé, France Info, le JT d'M6 ou encore l'émission Complément d'enquête. Il l'a épousée en 2014. Ensemble, ils ont eu deux enfants : un garçon, Simon, né en 2015, et une fille, dont on ignore le prénom, née en 2018.
Je n'ai pas à me plaindre
Pour rappel, le héros de La Vérité si je mens ! a pour habitude d'être très discret sur sa vie privée. Mais il s'est déjà permis quelques écarts. En effet, en 2018, il se confiait sur sa vie de famille dans les pages du magazine Parents. "Il m'est arrivé d'être épuisé. De passer une partie de la nuit à bercer mon fils parce qu'il souffrait des dents... Mais je n'ai pas à me plaindre. On est deux, alors je peux passer le relais. L'organisation roule bien. J'adore passer du temps avec mes enfants. Les petits déj' avec de la confiture qui déborde de partout. Quand je suis avec eux, je me sens à l'aise, comme sur un plateau. Avec Fanny, nous inventons notre propre voie. On fait le marché dans nos éducations respectives", avait-il déclaré.
A noter qu'un an plus tard, les deux tourtereaux foulaient le tapis rouge du Festival de Cannes, en étant très complices.