Après Naoëlle d'Hainaut, c'est au tour de Xavier, candidat de Top Chef 2016, de s'attirer les foudres des internautes. Insulté et malmené par le Web suite au "scandale du jus d'orange", le Top Chef a répondu aux critiques via le magazine Télé Star.
Le compétiteur aux ambitions déclarées n'a pas brillé par sa sympathie et son fair-play lors du deuxième épisode du concours culinaire de M6. Le cuisinier, sous-chef du restaurant de Gordon Ramsay Le Trianon à Versailles, n'a en revanche pas caché qu'il était là pour l'emporter : "Si je suis là, ce n'est pas pour rien. Si je suis ici, c'est pour gagner, point barre." En utilisant toutes les bouteilles de jus d'orange sans se soucier des autres, il s'est rapidement attiré les foudres de Twitter et consorts.
Je ne regrette pas ce que j'ai dit et ce que j'ai fait
"Pour moi, ce n'est que du bon. J'ai été le coup de coeur et, sur Internet, j'ai vu aussi des commentaires positifs de personnes qui trouvent mes assiettes belles et m'encouragent à continuer", confie Xavier, qui ne regrette pas son geste. Les insultes n'ont naturellement pas été agréables à lire pour lui, mais il assume pleinement : "Top Chef n'est pas une colonie de vacances. Ce n'est pas agréable de lire que je suis le plus gros c... de la télé de tous les temps, mais je le prends bien. Au moins, je ne suis pas le candidat qui est oublié tout de suite. Je ne regrette pas ce que j'ai dit et ce que j'ai fait dans Top Chef. C'est ma personnalité en concours."
Prêt à tout ? S'il assure qu'il n'ira pas jusqu'à mettre des bâtons dans les roues des autres, il a pourtant donné à Clément, désormais éliminé, du jus d'orange déjà utilisé et plein d'amertume. Il indique s'être expliqué avec lui depuis : "On en a parlé tout de suite après. Il a compris, mais il ne fonctionne pas comme moi. Il a été éliminé sur son oeuf poché, pas à cause de moi. Il ne faut pas me mettre tout sur le dos non plus. Mais je l'avoue : je suis capable du pire comme du meilleur pour gagner." Pas sûr qu'il puisse compter sur l'aide de ses camarades, dorénavant. Qu'importe, il n'est pas venu pour se faire des amis. Il conclut : "Je ne suis pas un monstre non plus, hein !"