Avant d'être une animatrice star de la télévision française, Léa Salamé a été une enfant comme les autres. À l'âge de 13 ans, elle traverse la crise d'adolescence, particulièrement virulente dans son cas et elle ne s'en cache pas. Invitée à se confier au micro de Konbini, la compagne de Raphaël Glucksmann a raconté quelques anecdotes très croustillantes sur cette période compliquée de sa vie. Et le moins que l'on puisse dire, c'est que ses parents doivent encore s'en souvenir...
Il y a des enfants qui ne font pas de crise d'adolescence, d'autres qui en font une toute petite et d'autres encore, qui font vivre un véritable enfer à leurs parents. C'est le cas de Léa Salamé, qui contrairement à ce que l'on pourrait penser, n'était pas du tout une élève modèle ni une enfant calme. "Je suis restée à Franklin (école jésuite de Paris, ndlr) de la sixième à la troisième, avant de me faire virer pour indiscipline. J'ai fait beaucoup de conneries...", a-t-elle expliqué. Lorsque son interlocuteur lui demande quelle était la connerie qui lui a valu son expulsion, la journaliste n'hésite pas à se livrer. "On avait fait un cahier dans lequel on se moquait des profs. Des horreurs. On disait des trucs sexuels qu'on ne comprenait même pas à 13 ans !", a-t-elle dévoilé sans fierté.
Mais comme beaucoup, ce qui a provoqué l'arrivée d'un comportement insupportable, c'est son intérêt grandissant pour les garçons. "D'abord j'avais du mal avec l'autorité, mais j'ai commencé à vriller quand j'ai découvert les garçons, et donc il fallait absolument leur plaire alors j'en rajoutais", a-t-elle ensuite expliqué.
Ceux qui ont le plus souffert dans cette histoire sont les malheureux parents de la jeune Léa Salamé. Incapable de contrôler leur fille, ils subissent ses frasques, complètement démunis. "Mes parents se faisaient convoquer tous les deux mois. On leur disait 'elle bavarde en classe, elle dit des conneries, elle sèche...'. J'ai vraiment fait vivre l'horreur à mes parents ! J'attendais qu'ils dorment et je fuyais par la porte de service pour aller faire la fête. J'ai fait les pires horreurs. Ils ont pété les plombs avec moi mes parents...", s'est-elle souvenue avant de relativiser : "Je trouve que c'est pas mal parce que quand tu fais une crise d'adolescence très serrée, sur 2 - 3 ans, de 14 à 17 ans, après c'est fini, c'est passé ! Mais bon, elle était très serrée chez moi." Reste à savoir si ses parents sont du même avis...