"J'aurais aimé..." : Mathilde Seigner s'exprime sur son ex Laurent Gerra de façon très inattendue

Mathilde Seigner s'est transformée en Simone Signoret pour la pièce d'Éric-Emmanuel Schmitt au théâtre de la Madeleine, Bungalow 21, faisant face à sa soeur Emmanuelle qui incarne Marilyn Monroe, Michaël Cohen en Yves Montand et Vincent Winterhalter qui s'est transformé en Arthur Miller. Le Figaro lui a consacré un passionnant portrait dans son édition du 4 octobre 2023 et une référence à l'un de ses ex-compagnons surprend.

Baignant dans un univers artistique riche entre une mère décoratrice et un père photographe et auteur de chansons pour Johnny Hallyday, Mathilde Seigner était vouée à suivre le pont des arts. Cependant, ce n'est pas la carrière de comédienne qui lui parle en premier puisqu'elle se voyait en haut de l'affiche dans le domaine du music-hall, se voyant "faire l'Olympia" : "Je voulais faire du music-hall, j'aimais Jacques Brel, Gilbert Bécaud, Charles Aznavour." Chanteuse alors ? Pas totalement puisqu'elle se serait bien vu dans la peau de son ancien amoureux, humoriste-star : " J'aurais bien aimé être Laurent Gerra !" Il est vrai que l'actrice sait très bien imiter Johnny Hallyday, Lara Fabian ou Sophie Marceau, comme le rappelle le quotidien.

Laurent Gerra a partagé la vie de l'actrice Mathilde Seigner pendant plus de trois ans, de 1998 à 2001. Assez médiatique, leur couple s'était séparé dans des "circonstances très difficiles, très violentes", selon les confidences dans l'émission Le Divan de la comédienne vue dans Camping. En effet, celle-ci avait "appris par les journaux qu'il était avec Lynda Lemay" et avait "eu du chagrin". Aujourd'hui, celle qui est en couple avec Mathieu Petit, père de son fils Louis, a cependant eu le temps de digérer la rupture et "ne lui en veut pas". "J'ai adoré ce type. (...) Laurent et moi, on se ressemble beaucoup. On pourrait être frère et soeur et le problème était là", avait-elle déclaré par le passé. Plutôt d'accord, l'humoriste expliquait à Paris Match qu'ils avaient "les mêmes coups de coeur et les mêmes coups de gueule".