Il est habitué à vivre de drôles de mésaventures au cinéma. Rayane Bensetti sera, d'ailleurs, prochainement à l'affiche du film Bro de Charlotte Lacour. Mais le comédien de 30 ans s'est retrouvé face à un problème bien plus terre-à-terre, tout récemment, comme il l'a expliqué dans plusieurs vidéos partagées sur les réseaux sociaux. S'il débute sa prise avec légèreté en entonnant le titre Aimons‐nous vivants de François Valéry, le jeune homme de 30 ans raconte tout de même qu'il a frôlé la mort.
Voilà pourquoi il se faisait discret ces derniers temps. "Pour vous expliquer rapidement ce qu'il s'est passé, grosso modo, j'ai pris un staphylocoque doré à l'hôpital. C'est sorti sous forme de petit bouton. J'avais un bouton sur le torse et ça me faisait mal à l'intérieur. Je me suis dit, comme tout imbécile, je vais le percer. C'est ce qui m'a amené toute cette merde. Tout s'est infecté et je me suis réveillé le lendemain gonflé du cou jusqu'au ventre avec tout le corps rouge." Depuis la mort de son papa Bachir, décédé en 2018 à 54 ans de la maladie de Charcot, Rayane Bensetti se dit "traumatisé" à l'idée de se rendre à l'hôpital. Ce qui n'a fait qu'envenimer les choses.
Vous risquez la mort, Mr. Bensetti
"Je n'ai pas voulu y aller, quitte à mourir apparemment. Donc j'ai attendu 24 heures et le lendemain, je me suis réveillé avec une balle de tennis au milieu du ventre. Je vous jure, je me suis regardé dans le miroir, mon corps n'était plus le mien, j'étais gonflé de partout. Impossible de porter mon téléphone, paralysé à gauche. Je ne pouvais plus bouger. Le docteur n'avait jamais vu ça de sa vie." Rayane Bensetti a passé 48 heures sous surveillance avant de pouvoir se filmer pour Instagram, avec cette phrase en tête : "Vous risquez la mort, M. Bensetti." Il a passé des tests, pris des antibiotiques et a constaté que le traitement semblait fonctionner. Aux dernières nouvelles, il espère toujours ne pas avoir à subir la moindre opération pour finaliser sa guérison, surtout qu'il doit se rendre sur un plateau de tournage dans une vingtaine de jours. Croisons les doigts...