Portée au sommet dans le film La Vie d'Adèle, Palme d'or du Festival de Cannes et "grand prix" de la polémique désormais, Adèle Exarchopoulos est sous tous les projecteurs, jusqu'aux Etats-Unis. Dans le long métrage du controversé Abdellatif Kechiche, elle se dévoile complètement, sans fard, afin d'apporter toute sa spontanéité et son talent naturel à la caméra. Elle a été choisie pour être également devant l'objectif du magazine GQ, édition américaine et fait un show sexy, coquin mais qui laisse aussi dubitatif. A quel degré prendre la vidéo de son shooting, où elle récite des phrases incompréhensibles tirées d'une émission de télé-réalité américaine : Duck Dynasty, comme le souligne Les Inrocks ?
En interview pour GQ, version américaine, Adèle Exarchopoulos, bientôt 20 ans, ne perd pas sa franchise agréable : "Je sais que ce que tout le monde veut savoir. 'Est-ce qu'on couche vraiment ensemble [avec Léa Seydoux, dans La Vie d'Adèle] ?' Quand on fait un film et qu'on meurt dedans, on ne meurt pas vraiment dans la vie", dira l'actrice de sa performance, saluée par GQ comme une oeuvre ardente dans la peau d'une adolescente en plein tourbillon de la vie et des sentiments.
Les photos en petite tenue, voire à moitié nue, d'Adèle Exarchopoulos ne sont en rien surprenantes, puisque le magazine GQ, quelque soit le pays d'édition, flirte avec le sexy coquin pour ses shootings de stars féminines. Un petit jeu auquel l'actrice se prête avec son naturel débordant. Cependant, la vidéo de cette séance photo, durant laquelle on l'entend dire des phrases en français qui n'ont pas grand sens laissent songeur. "Elle peut rendre n'importe quoi sexy, même Duck Dynastie", dit le titre de la vidéo. Un drôle de cirque avec une révélation du cinéma qui joue de son sex appeal. Sa partenaire Léa Seydoux avait elle posé nue mais recouverte d'organza pour le magazine Lui.
Une vidéo qui servira à faire le buzz, mais la belle Adèle n'en a pourtant pas beaucoup besoin, son talent et son caractère bien affirmé suffisent. On la retrouvera dans la première réalisation de Sara Forestier, M.