Alexandra Lamy a le plaisir de défendre Une chance de trop, série de TF1 adaptée du roman éponyme d'Harlan Coben. C'est sa grande amie Mélanie Doutey qui lui a conseillé de regarder le scénario, et elle ne le regrette pas. D'ailleurs, elle vient de recevoir le Prix d'interprétation au Festival de la Rochelle. Forte de ce succès, l'actrice de 43 ans s'est confiée dans les pages de Femme actuelle. Elle est revenue sur la période agitée qui a suivi l'officialisation de sa rupture avec Jean Dujardin (en novembre 2013), mais, d'une nature toujours positive, a abordé avec plaisir sa nouvelle vie et ses projets.
C'est à Londres qu'Alexandra Lamy a posé ses valises avec sa fille Chloé Jouannet, actrice débutante : "J'ai vu vraiment ma fille s'épanouir. Ses notes ont grimpé en flèche, elle est première de sa classe en anglais. Elle va avoir 18 ans et s'apprête à entrer à l'université." La vie en Angleterre, son relatif anonymat et les nouvelles rencontres qu'elle fait lui plaisent. Mais il n'y a pas que la capitale britannique qui l'a changée.
Pour les besoins du film Vincent et la fin du monde, Alexandra Lamy est devenue rousse. Revenue à son blond, la comédienne s'était bien habituée à son "rouge pétant" : "Je m'y suis tellement habituée que j'ai eu peur de me sentir fade en revenant au blond pour mon prochain rôle ! Avoir cette couleur de cheveux a changé ma façon de m'habiller, j'ai adopté des teintes plus fortes, comme le vert par exemple. Ce qui change surtout, c'est le regard des hommes. Ils vous pensent plus extravertie, voire même 'open'... Résultat : je me suis fait davantage draguer pendant cette période ! (rires)"
Dans Vincent et la fin du monde, réalisé par Christophe Van Rompaey, il est question d'un garçon, activiste écologiste, prêt à mettre sa vie en jeu pour lutter pour la bonne cause. Mais sur sa route, il croise sa tante un peu fantasque qui va tout faire pour lui redonner un peu d'espoir.
Personnage au grand coeur dans ce long métrage prochainement au cinéma, Alexandra Lamy donne aussi de sa personne dans la "vraie vie". Impliquée dans le Pasteurdon, elle est aussi la marraine de L'Archipel, un foyer parisien qui accueille des adultes atteints de déficience intellectuelle : "Mon ex-belle-soeur connaît les responsables de ce foyer et m'a dit qu'ils m'avaient vue dans ce film [De toutes nos forces] et aimeraient que je vienne les soutenir. Accepter m'a semblé une évidence." Plus d'informations sur Archeaparis.org.
Retrouvez l'intégralité de l'interview dans le magazine Femme actuelle du 21 septembre