Amber Heard, dans une robe noire et élégante, a fait sensation lors du cocktail Bulgari Haute-Couture à Paris le 7 juillet, en pleine période de Fashion Week. L'actrice américaine et épouse de Johnny Depp ne pouvait pas passer inaperçue dans la capitale, répandant son charme hollywoodien, non loin d'autres personnalités ravissantes également : Michelle Rodriguez, Clotilde Courau et Valeria Golino.
Sage dans sa tenue de soirée, Amber Heard a pourtant un tempérament volcanique. A 29 ans, elle sait ce qu'elle veut et n'a pas peur d'afficher ses convictions. Quelque soit les sujets, elle répond avec franchise. Dans son interview pour Purepeople, à l'occasion de la sortie de Magic Mike XXL, elle parle gourmandise, strip tease et féminisme sans problème. Dans le magazine Gala, elle évoque son mariage tout comme son engagement en faveur des immigrés clandestins.
Sa nouvelle vie de femme mariée, depuis le 3 février dernier, n'a pas changé la femme qu'elle est. Elle reste curieuse et très ouverte d'esprit, faisant ainsi allusion à sa bisexualité par le passé. Elle l'assume complètement et déclare que cela lui a permis de vivre de belles aventures humaine. Ce n'est pas pour autant que s'unir à Johnny Depp n'est pas symbolique :
J'aime la solennité du sacrement du mariage, le degré d'intimité auquel il engage un couple. J'essaie de maintenir et de protéger cette complicité autant que je peux. Je suis très heureuse d'être mariée.
Et ne lui parlez pas de perte d'indépendance depuis son mariage, elle n'a jamais eu à la sacrifier pour quiconque et ne le fera pas. Si un jour elle a un enfant, et surtout si c'est une fille, elle se battra pour qu'elle préserve elle aussi sa liberté. Sur les sujets politiques, elle affirme aussi son goût pour la liberté face aux problèmes de frontières entre le Mexique et les Etats-Unis. La Texane sait de quoi elle parle et explique pourquoi elle s'est engagée en faveur des immigrés clandestins : "J'ai grandi au Texas et mon père, qui travaillait dans le bâtiment, engageait régulièrement des ouvriers mexicains. J'ai moi-même été élevée par des nounous mexicaines. Je me sens très proche de cette communauté. J'espère pouvoir un jour aider à dépassionner les débats sur ce sujet grâce à une fondation à mon nom." Un beau programme !
Retrouvez l'intégralité de l'interview dans le magazine Gala du 8 juillet