Ana Girardot, en couverture du magazine Citizen K
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Le film Simon Werner a disparu, présenté dans la catégorie Un Certain Regard du Festival de Cannes, a révélé le talent d'une foule de jeunes comédiens, comme Jules Pélissier, ancien de Nouvelle Star, mais aussi Ana Girardot. Cette actrice de 22 ans, fille d'Isabel Otero et d'Hippolyte Girardot, se fait un prénom et pose en couverture de Citizen K. Dans l'interview qu'elle livre pour ce magazine, elle se dévoile. Extraits.
Ana ne se souvient pas avoir vu ses parents ensemble. Mais elle n'en est pas traumatisée, elle se réjouit que, étant enfant de familles recomposées - elle a trois demi-frères et soeur -, elle a su s'adapter à des milieux différents. Ses parents n'ont pas voulu l'accabler de conseils, sauf un : "Quand on a les moyens, les voyages sont le meilleur investissement qui soit."
Avec sa mère, elle a joué dans un épisode de la série Diane, femme flic. Avec son père, on peut la voir dans Le Bel Eté de 1914. Ce film a d'ailleurs marqué une génération de femmes, les mères de ses copines, qui ne se privaient pas, raconte-t-elle, de lui dire qu'elles étaient amoureuses de lui. Il faut dire qu'Hippolyte Girardot est devenu, selon les mots d'Ana, une sorte de Louis Garrel de l'époque, un nouvel homme fragile, avec des films comme Un monde sans pitié. Pour Ana, son idéal masculin, c'était plutôt Robinson Stévenin, dans Le Bel Eté de 1914 aussi.
Son voeu ? Jouer dans un Woody Allen, et elle aimerait être un personnage de Jane Austen. Mais pour le moment, elle a quatre tournages prévus l'année prochaine. Ana sera très présente sur les écrans, et personne ne s'en plaindra.
Retrouvez l'intégralité de l'entretien dans le magazine Citizen K, trimestriel hiver 2010-2011.
Ana ne se souvient pas avoir vu ses parents ensemble. Mais elle n'en est pas traumatisée, elle se réjouit que, étant enfant de familles recomposées - elle a trois demi-frères et soeur -, elle a su s'adapter à des milieux différents. Ses parents n'ont pas voulu l'accabler de conseils, sauf un : "Quand on a les moyens, les voyages sont le meilleur investissement qui soit."
Avec sa mère, elle a joué dans un épisode de la série Diane, femme flic. Avec son père, on peut la voir dans Le Bel Eté de 1914. Ce film a d'ailleurs marqué une génération de femmes, les mères de ses copines, qui ne se privaient pas, raconte-t-elle, de lui dire qu'elles étaient amoureuses de lui. Il faut dire qu'Hippolyte Girardot est devenu, selon les mots d'Ana, une sorte de Louis Garrel de l'époque, un nouvel homme fragile, avec des films comme Un monde sans pitié. Pour Ana, son idéal masculin, c'était plutôt Robinson Stévenin, dans Le Bel Eté de 1914 aussi.
Son voeu ? Jouer dans un Woody Allen, et elle aimerait être un personnage de Jane Austen. Mais pour le moment, elle a quatre tournages prévus l'année prochaine. Ana sera très présente sur les écrans, et personne ne s'en plaindra.
Retrouvez l'intégralité de l'entretien dans le magazine Citizen K, trimestriel hiver 2010-2011.