C'est dans les pages de France-Soir, fin 2010, qu'a été annoncée la séparation de Jean-Michel Jarre et d'Anne Parillaud. Alors que le communiqué du service de presse du musicien laissait penser que les deux artistes révélaient communément la triste nouvelle... ce n'était pas le cas. Ainsi, l'héroïne de Nikita a appris, dit-elle, en même temps que le grand public sa délicate situation maritale.
En ce début d'année, après une période difficile, la comédienne - qui dévoilait récemment sa version des faits et sa douleur dans les colonnes du Nouvel Observateur - semble se sentir plus solide.
A 50 ans, celle qui incarne la marquise de Brinvilliers dans La marquise des ombres, téléfilm diffusé le 9 février prochain sur France 2, s'est laissée à quelques confidences au magazine Télé Star. En évoquant le long métrage (qu'elle coproduit), elle a décrit son héroïne : "Une femme du XVIIe siècle, absolue et pure. Jugée coupable d'avoir empoisonné son père et ses frères, elle finira décapitée et brûlée." Un personnage complexe qu'elle se plaît à défendre.
En évoquant son caractère tenace et passionné, ajoutant que l'avocate qu'elle voulait être lorsqu'elle était jeune était toujours en elle, la maman de Juliette, 23 ans (dont le papa est Luc Besson), Lou, 10 ans, et Théo, 7 ans (d'une autre union), a évoqué le tempérament de ses enfants : "J'ai essayé de préserver leur innocence tout en leur donnant une conscience. Cela donne des êtres à fleur de peau, mais lucides. Je suis une mère très expressive dans son amour et en même temps autoritaire : j'ai été élevée ainsi."
Le belle brune aux yeux bleus, en préparation de deux nouveaux téléfilms pour France Télévisions, et d'une pièce de théâtre baptisée Emprise (qui sera un dialogue entre un serial killer et sa psy), a assuré qu'elle allait bien. Prête à avancer seule, elle a dévoilé : "Je reprends ma vie en main. Je suis quelqu'un de dépendant, qui n'est pas conscient de sa valeur autrement que par le regard des autres... J'ai donc connu de nombreux Pygmalion. Mais aujourd'hui, je suis prête à être mon Pygmalion : je me connais finalement mieux que tous ces hommes, et je suis la mieux placée pour orienter ma carrière."
Bonne route Anne !