
Un drame terrible est survenu ce mardi 4 mars 2025. Diego, le fils de Lio, âgé de seulement 21 ans, a mis fin à ses jours. Son corps a été retrouvé carbonisé près de l'aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle, non loin de Paris, sur la route du Noyer du Chat.
Selon nos confrères du Paris Match, Diego venait de récupérer la carte bancaire de sa mère, puis il était monté dans sa propre voiture, avant de "remplir un jerrycan d’essence dans une station-service à l’enseigne Total, située à proximité de l’emprise aéroportuaire". Le jeune homme s’est ensuite aspergé de ce liquide inflammable avant de l’embraser.
Lio avait signalé la disparition inquiétante de son fils auprès de la police. Depuis que le corps du jeune homme a été retrouvé dans des circonstances dramatiques, la chanteuse à la tête d’une fratrie de six enfants (de pères différents) n'a pas pris la parole. Néanmoins, une personne de son entourage l'a fait, hier soir, sur Instagram.

Ce mardi 4 mars, aux alentours de 22 heures, Julie Piétri, l'interprète du tube Ève lève-toi a publié un message sur les réseaux : "Toutes mes pensées vont vers toi ma très chère Lio et vers ta famille ! Aucune mère ne devrait ce que tu as à vivre en ce moment, sache que je suis là pour toi !"
Pour rappel, depuis plusieurs années, les deux chanteuses partagent régulièrement la même scène lors de la tournée Génération 80. C'est donc tout naturellement que dans cette épreuve de la vie, Julie Piétri a souhaité apporter son soutien à sa tendre amie.

Ce post a déclenché quelques réactions houleuses de la part des internautes. La raison ? Nombreux sont ceux qui considèrent qu'un tel message de soutien n'a pas sa place sur les réseaux. On peut notamment lire : "Pourquoi afficher sur un réseau !" ou bien "C'est ici que vous venez lui témoigner votre soutien ?".
Julie Piétri s'est justifiée par ces quelques mots : "Je comprends votre point de vue, mais étant donné que ses filles que je connais, Nubia et les jumelles, ont communiqué sur leurs réseaux et sur Gala.fr, je me suis permise de participer à leur peine".