La vie intime de Christelle Moreno, on la connaît. Les hauts et les bas de son mariage avec Sylvain – Arnaud Henriet –, on les a vu en long, en large et en travers dans les épisodes de Demain nous appartient, sur TF1. Surtout les bas, d'ailleurs. Mais dans la réalité, loin des plateaux de tournage, il semblerait qu'Ariane Séguillon soit une femme comblée... bien que privée de son cher et tendre. C'est en tout cas ce qu'elle affirme dans les colonnes du magazine Télé Star. "Je suis à Paris, chez moi, explique la comédienne. Mon fils habite deux étages au-dessus, on se voit régulièrement. Par contre, je ne peux pas voir mon amoureux... On attend les consignes pour se retrouver."
C'est avec fierté qu'Ariane Séguillon parle de son fils, son amour, son Dorian, membre du duo Ofenbach. On sait également que, dans la famille, l'actrice n'est pas la première a être une vedette de TF1 puisque son oncle Pierre-Luc y a présenté les émissions Midi presse ou Questions à domicile, avec Anne Sinclair . Si elle est privée des tournages de Demain nous appartient à durée indéterminée, l'actrice ne peut pas profiter de ce temps de pause dans les bras de son partenaire. Heureusement, quand elle ne fait pas des lives sur Instagram avec ses fans, elle trouve toujours de quoi s'occuper. "J'ai la chance de ne jamais m'ennuyer, poursuit-elle. Je lis, je regarde des séries, je fais une heure de cardio par jour. J'adorerais me mettre au yoga mais je n'y arrive pas, ça me provoque des crises de fou rire irrépressibles."
La France sortira progressivement du confinement dès le 11 mai 2020. En ce qui concerne le retour chez TF1, en revanche, les choses seront certainement plus compliquées. Mais en attendant, les comédiens de Demain nous appartient se donnent des nouvelles régulièrement via un groupe qu'ils ont créé sur WhatsApp. Une aubaine pour Ariane Séguillon, férue de travail, dont la vie est un peu plus terne sans la présence de son grand copain Alexandre Brasseur...
Retrouvez l'interview intégrale d'Ariane Séguillon dans le magazine Télé Star, n°2275 du 4 mai 2020.