Sale histoire... Ary Abittan est dans le collimateur de la justice depuis qu'une jeune femme, d'abord présentée comme étant sa compagne avant que l'on apprenne qu'il s'agissait en fait d'une simple "connaissance", a porté plainte contre lui le 31 octobre 2021 pour viol, après une supposée agression survenue la veille. Le 2 novembre, il a été mis en examen dans cette affaire. Nos confrères du Point dévoilent quelques détails.
Ce serait donc au domicile de l'acteur du film Qu'est-ce qu'on a fait au bon Dieu ?, situé dans le chic 8e arrondissement de Paris, qu'aurait eu lieu le viol. La plaignante est une jeune femme âgée de seulement 23 ans, employée d'une plateforme numérique, qui a affirmé aux policiers entretenir "une relation suivie" avec Ary Abittan mais sans se présenter comme sa compagne ; aux dernières nouvelles, il était toujours divorcé et célibataire. Ce serait l'artiste de 47 ans qui aurait téléphoné à la jeune femme pour qu'elle passe chez lui dans la soirée du 30 au 31. "Une fois sur place, le couple a une relation sexuelle protégée", peut-on lire.
Mais les choses auraient dérapé dans un second temps, à l'issue d'un deuxième rapport avec une pratique sexuelle qui ne convenait pas à la jeune femme. "Pour pimenter la relation, le comédien aurait pris des initiatives qui n'auraient pas plu à sa jeune amie (...) des relations sexuelles non conventionnelles entre homme et femme. Selon elle, Ary Abittan serait passé outre son refus, pourtant explicitement exprimé", rapporte Le Point, qui se garde bien de préciser les détails...
Ary Abittan serait "tombé des nues" en apprenant par les policiers le motif de sa garde à vue et il leur a expliqué avoir pris une douche avec la jeune femme après leur nuit d'amour et avoir ensuite pris la direction d'une soirée avec des amis sans se douter une seule seconde que celle-ci avait alors contre lui le moindre reproche pouvant justifier de saisir la justice. Le Point précise que la plaignante voulait initialement juste déposer une main courante mais ne pas porter plainte pour ne pas causer de tort au comédien mais, "alertée, la permanence criminelle du parquet de Paris saisissait alors le 1er district de police judiciaire" pour interpeller Ary Abittan et le mettre en garde à vue.
Il reste présumé innocent des faits reprochés jusqu'au jugement définitif de cette affaire.