Récemment, les fans de HPI découvraient le final de la saison 4, sur TF1. Et se demandaient alors, dans la foulée, s'il y'aura une suite. Audrey Fleurot, qui incarne l'héroïne de la série (Morgane Alvaro), a récemment donné un élément de réponse, dans les pages de Télé-Loisirs : "Si je m'écoutais, je m'amuserais encore un bon moment avec Morgane, mais ce n'est pas un personnage créé pour perdurer. Tous les ans, on se demande comment on va pouvoir encore s'améliorer sans se reposer sur nos lauriers. C'est une chance, mais ça demande une énergie folle. Chaque fois, j'ai l'impression d'y laisser cinq ans de ma vie."
Et Audrey Fleurot sait de quoi elle parle, elle qui a travaillé sur deux films pendant sa grossesse (elle a donné naissance à un petit garçon, prénommé Lou, en 2015). Débordée, elle a été confrontée à une dépression post-partum. "Neuf mois c'est le temps que ça prend pour se faire à l'idée. Et comme je n'ai pas eu le temps d'en profiter, je pense que ça m'a pris les neuf mois qui ont suivi", avait-elle confié au HuffPost. On nous donne l'impression qu'une fois que vous accouchez, un lien immédiat se construit. Mais pas du tout. Vous êtes face à un élément étranger que vous allez devoir apprivoiser autant qu'il doit vous apprivoiser vous."
Celle qui se confiait récemment sur la chirurgie esthétique a ensuite compris que cette dépression était surtout liée à un bouleversement hormonal lié à la grossesse. "Si on m'avait dit plus tôt que ce n'était pas de ma faute, que c'était un coup des hormones [...] j'aurais perdu moins de temps.", avait-elle regretté, toujours pour Le HuffPost. Elle a alors suivi un traitement hormonal, ce qui lui a permis de sortir de cette spirale négative, et vaincre ce "gros baby blues". 10 à 20 % des mères sont touchées par une dépression post-partum dans les semaines qui suivent l'accouchement, apprend-on sur le site Ameli.
Pour plus d'informations sur la semaine de la santé mentale, rendez-vous sur https://fr.webedia-group.com/news/corporate/webedia-reaffirme-son-engagement-en-faveur-de-la-sante-mentale-pour-la-deuxieme-annee-consecutive.