Benjamin Castaldi est l'heureux papa de quatre enfants, nés de trois femmes différentes. Il y a ses aînés Julien et Simon, issus de son union avec Valérie Sapienza, Enzo de ses amours avec l'animatrice Flavie Flament et enfin Gabriel, le petit dernier qu'il a eu avec sa femme Aurore Aleman. Le chroniqueur n'a jamais caché avoir été un père absent pour ses premiers enfants en raison notamment de sa grande notoriété à l'époque de leur enfance mais désormais, à 52 ans, il souhaite rattraper les erreurs du passé avec le jeune Gabriel, âgé de 2 ans. "C'est un très bon papa qui s'occupe de son fils, contrairement à ce que je pensais pour le coup. Il dort avec nous, tu changes les couches, tu fais des câlins. Il est formidable !", assurait même son épouse.
Mais s'il est un papa gaga, Benjamin Castaldi sait aussi faire preuve d'autorité. C'est ce qu'il a reconnu dans Touche pas à mon poste vendredi 13 janvier, alors qu'un débat autour des punitions pour les enfants était lancé. "Mon petit dernier Gabriel, il a deux ans, et je le met au piquet. Vous allez dire que je suis un monstre mais quand trois fois tu dis quelque chose et que trois fois il te dit 'non, non, non' et bah 'tais toi et va au piquet' et un jour il dira oui", a-t-il expliqué.
Des déclarations qui ont outré Gilles Verdez. "Benjamin, franchement je vous aime beaucoup, mais vous êtes le prototype du mauvais père. C'est-à-dire que vous avouez que vous projetez... Vous vous rendez-compte de ce que vous allez faire ? Le petit dernier, je l'ai vu, il est admirable, c'est un petit bébé fantastique, vous allez le gâcher parce que vous allez projeter sur lui vos propres défauts. Vous incarnez le pire Castaldi ! Vous êtes le pire de ce qu'il y a là !", s'est-il emporté.
"Avec Gabriel, je vais user d'autorité pour qu'il comprenne vite...", a alors tenté de se défendre Benjamin Castaldi. Mais il n'a pas eu le temps de finir sa phrase que son confrère chroniqueur revenait à la charge. "Mais il n'a rien fait le petit Gabi, je l'ai vu, il n'a rien demandé, vous allez le mettre au piquet ! Un ange au piquet !", a crié Gilles Verdez, décidément en furie.
Une séquence qui a naturellement beaucoup été commentée sur les réseaux sociaux.