Jeudi 23 mars, à 21h sur C8 deux chroniqueurs de Touche pas à mon poste se sont affrontés en direct dans l'émission Castaldi VS Delormeau : Qui sera le meilleur animateur ? À la clé pour le vainqueur de ce duel, la présentation d'un prime le 6 avril sur la chaîne. Si Benjamin Castaldi a gagné, c'est en partie grâce à sa franchise. Sans langue de bois, il n'a pas hésité à clasher son confrère Cauet et Stéphane Guillon.
Cauet est le moins utile
Interrogé au téléphone par un Fanzouze sur l'identité du chroniqueur le "moins utile" de TPMP, l'ex-star de TF1 a déclaré : "C'est Cauet. Je pense qu'il a certainement le problème que l'on peut avoir lorsque l'on est animateur vedette : c'est de se positionner face à des chroniqueurs qui ne sont pas forcément des animateurs vedettes et face à un autre animateur vedette. Moi, je n'ai pas ce problème-là et je pense sincèrement que c'est compliqué et il faut l'accepter. Moi, j'ai fait ce pas en avant (...). Il faut accepter d'être en-dessous du chef quand on vient ici. Il faut faire un travail de deuil du vedettariat et si on le fait simplement et humblement, on passe un très bon moment. Je l'ai fait et je me régale."
Stéphane Guillon est un tarba
Puis, quand Cyril Hanouna lui a demandé son avis sur Stéphane Guillon, Benjamin Castaldi a balancé sans filtre : "C'est un grand tarba [un bâtard en verlan, NDLR]. C'est le mec le moins courageux de ce métier. Dès qu'il y a une embrouille, il part en courant. Je n'ai qu'un conseil : 'Va t'acheter une paire de roubignoles.'" Et de poursuivre : "Je ne l'aime pas (...). Je m'en fous de son talent. Il est lâche, faux derche, il sort des attaques souvent par derrière et devant, plus rien. C'est, comme disait Coluche : 'C'est pas dur à chier, c'est déjà de la merde.'"
La colère de Benjamin Castaldi envers Stéphane Guillon ne date pas d'hier puisque, comme l'a déjà expliqué l'ex-animateur de Secret Story en octobre dernier dans TPMP, il y a quelques années, ils avaient failli en venir aux mains à cause d'un papier très dur de Stéphane Guillon parlant notamment de sa famille et de son fils Enzo. "Il avait fait un papier pas très drôle où il disait 'Quand on voit ses grands-parents, son père et ce qu'il est lui, on s'inquiète pour la santé mentale du petit Enzo'. Mon dernier fils. Ça m'avait mis franchement les boules." Et de poursuivre : "J'avais donc voulu l'attraper pour lui dire combien je l'aimais. J'ai pas eu le temps, il avait disparu. Du coup, hier, quand j'ai vu cette séquence où on l'a vu partir doucement mais très vite quand même, je me suis dit 'Depuis dix ans, il s'est toujours pas acheté une paire de roubignoles'."