Travailler à Paris ? Oui, mais pas plus ! Pour Benoît Poelvoorde, hors de question de quitter définitivement sa Belgique natale, encore moins la province de Namur. Heureusement, voilà quelques temps que le comédien a fait l'acquisition d'une maison mythique dans les parages : la Maison Materne, une spacieuse demeure construite en 1772 par la famille Materne qui se situe au bord de la Meuse, sur la rive droite du fleuve, au niveau de Jambes, une section au sud de la ville de Namur.
Son installation en région wallonne est une information que l'on tient de L'Avenir. Benoît Poelvoorde a effectué un retour aux sources en posant ses valises à Lustin, d'abord, pour ensuite s'installer une dizaine de kilomètres plus loin. Sa résidence principale se situe désormais à Jambes. Il s'agit d'une très belle maison de maître de style classique qui est classée depuis 1981 et qui a été totalement rénovée en 1995. Benoît Poelvoorde aurait, d'ailleurs, "posé sa griffe de décoration au goût sûr et raffiné", selon Le Soir. Avant lui, la maison avait appartenu à Charles Lamquet, échevin et directeur d'une ancienne verrerie.
C'est un être rare
A l'époque de l'achat, l'agence immobilière qui s'occupait de la transaction n'avait pas pu révéler qui en était le propriétaire, puisqu'étant tenu au secret professionnel. Plusieurs sources avaient cela dit confirmé à L'Avenir que le comédien belge était le nouveau résident. Le prix de vente de la Maison Materne n'avait pas non plus été communiqué, mais la propriété coûterait, selon les spécialistes, environ 1,2 million d'euros. On ignore, en revanche, avec qui il est installé en ces lieux. En dehors de ses chiens et de son non-désir d'enfants, Benoît Poelvoorde reste très discret à propos de sa vie privée. Peut-être reçoit-il, à l'occasion, Chiara Mastroianni ? En 2014, il avait avoué, en demi-teinte, être en couple avec elle. "C'est un être rare, qui a une fantaisie et une sensibilité hors du commun, affirmait-il dans les colonnes de Madame Figaro. Sa façon de bouger, son corps, sa voix." On ignore si, depuis, l'histoire suit son cours tel un long fleuve tranquille.