D'après les informations du magazine People, la famille avait pris des mesures de sécurité drastiques pour éviter un nouveau drame lors de l'enterrement de la jeune femme de 22 ans. Malheureusement, le site d'information TMZ nous apprenait hier que des photos de la défunte dans son cercueil étaient déjà vendues à la presse. En dépit des macabres circonstances, les obsèques de Bobbi Kristina, qui se sont déroulées au cimetière de Fairview, ont pris des allures de "cirque", selon un témoignage recueilli par le magazine américain.
"Il y avait des agents de sécurité partout pour s'assurer que rien n'échappe à leur contrôle", rapportent les journalistes de People. Les tensions entre les deux familles étaient palpables et évidentes. En guerre depuis des années, le décès de la jeune femme n'a fait qu'aggraver les querelles déjà existantes. "Aucune des deux parties n'est satisfaite, et encore moins sur la même longueur d'onde. Il y a beaucoup de choses qui se trament en coulisses", rajoutait une autre source.
Il y a tout de même un sujet qui semble mettre tout le monde d'accord, à savoir l'interdiction d'approcher à l'encontre de Nick Gordon. A 25 ans, le fils adoptif de Whitney Houston et mari supposé de Bobbi Kristina n'a même pas eu le droit à un dernier adieu. Le magazine précise que le jeune homme a pourtant envoyé un mail aux tuteurs légaux de sa petite amie, Bobby Brown et Pat Houston, pour les supplier de le laisser assister aux funérailles. Ce qu'ils ont refusé.
"Nick est allé à la plage avec moi pendant l'enterrement, a expliqué Michelle Gordon, qui a accompagné son fils à Daytona Beach en Floride. Il m'a dit que c'était leur endroit préféré, alors c'est là qu'il a décidé de lui rendre hommage, dans ce lieu qu'ils aimaient tous les deux."
L'absence du jeune homme, accusé de violences conjugales et de détournement d'argent, n'a cependant pas empêché la zizanie de régner lors des funérailles. Leolah Brown a notamment déclenché un esclandre en interpellant Pat Houston pour lui assurer que Whitney allait "la hanter jusqu'à sa mort". Et d'ajouter que "ce n'était que le commencement". On veut bien la croire...
Coline Chavaroche