En pleine promotion pour défendre la publication de son premier roman intitulé Le secret d'Adèle, Valérie Trierweiler multiplie les entretiens avec la presse. Après avoir accordé une interview au magazine Elle, l'écrivaine et journaliste française s'est confiée à nos confrères de Télé-Loisirs pour commenter l'actualité et l'imminente passation de pouvoir qui se déroulera dimanche à l'Elysée entre François Hollande et Emmanuel Macron, élu président de la République le 7 mai dernier.
L'ex-compagne du chef d'Etat sortant a notamment évoqué la toute nouvelle première dame de France, Brigitte Macron, régulièrement visée par des attaques misogynes en raison de sa différence d'âge avec son époux (elle a 24 ans de plus que lui). Révoltée par ces critiques déplacées, Valérie Trierweiler a pris la défense de sa consoeur. "Vous l'avez dit, c'est misogyne et je trouve cela odieux. Mais les femmes de président ont toujours été attaquées : on l'a oublié mais Bernadette Chirac était très critiquée à ses débuts. Et je me souviens encore des larmes de Carla lorsqu'elle m'a raconté tout ce qu'on avait dit sur elle. Dès lors que vous êtes la compagne du chef d'Etat, vous êtes observée des pieds à la tête : il ne faut pas avoir une ride, il ne faut rien dire...", a-t-elle déclaré.
L'ex-journaliste politique de Paris Match est aussi revenue sur les quelques mots qu'elle a adressé à Brigitte Macron, lui souhaitant "bon courage". Elle a ainsi justifié : "Vous imaginez, Carla était une artiste, elle avait fait des défilés, elle avait donc l'habitude d'être regardée. Moi, je suis journaliste, je connais donc le système des médias. Mais Brigitte Macron, elle, elle était enseignante !", a-t-elle conclu.