Britney Spears : Vit-elle dans un pays "crazy" peuplé de "baby" ?

Dans la rubrique Informations "Ça nous fait une belle jambe", en voilà une à côté de laquelle nous ne pouvions pas passer : Britney Spears emploie plus que de raison les mots "Baby" et "Crazy" dans ses chansons...

Un fan de la pop-star a consacré de longues heures a écouter en boucle les sept albums studios de Brit-Brit sortis à ce jour afin d'y recenser toutes les fois où elle y prononce ces deux mots. Le résultat est sans appel : dans une vidéo qui s'étend sur près de six minutes, on retrouve un condensé de tous les "Baby" et "Crazy" chantés par Britney Spears en douze années de carrière, qui sont au nombre de deux cents. Une vidéo qui fait le buzz sur la Toile ces derniers jours...

A l'heure où certains s'amusent à relever les tics de langage de la petite fiancée de l'Amérique, cette dernière, en une du dernier numéro du magazine Glamour britannique, s'apprête à entamer une tournée à travers l'Europe (ponctuée de trois dates en France).

Son business se porte très bien puisque la partie nord-américaine de son Femme Fatale Tour a déjà engrangé près de 35 millions de dollars de recettes, tandis que son dernier single I wanna go vient d'atteindre le million d'exemplaires vendus aux Etats-Unis. C'est donc gonflée à bloc que Brit-Brit s'apprête à conquérir le monde.

Des indicateurs positifs qui poussent la superstar de la pop à sortir un album de remixes proposant un condensé de ses trois derniers opus, Blackout (2007), Circus (2008) et Femme Fatale (2011), dans des versions retravaillées et taillées pour les dancefloors.

Et contre toute attente, c'est le single Criminal, une surprenante ballade au charme indéniable, qui sera choisi pour défendre les couleurs de cet album de remixes.

Prochaine étape pour Britney Spears : tourner le clip illustrant ce single. Elle affirmait récemment avoir déjà un scénario en tête pour cette vidéo. Le tournage sera forcément imminent, puisque la superstar de la pop s'envolera pour l'Europe dans une quinzaine de jours.

Joachim Ohnona