Cannes, c'est le cinéma, mais c'est aussi l'amour. Robert Pattinson et Kristen Stewart ne pourront pas dire le contraire. Le 23 mai, au Festival de Cannes, durant l'after-party du film Sur la route, dans lequel joue Kristen, les deux jeunes stars révélées au monde entier par la saga Twilight se sont laissées aller à quelques baisers sur fond de tendre complicité.
Depuis qu'ils partagent l'aventure folle de Twilight, les deux acteurs Robert Pattinson et Kristen Stewart ont fait naître des rumeurs d'idylle. D'abord en raison de leurs personnages qui vivent une histoire d'amour passionnée durant toute la saga. Ensuite parce que leur complicité devenait de plus en plus ambiguë. Un baiser volé en avril 2011 lors de l'avant-première de De l'eau pour les éléphants n'a fait qu'accroître tout cela. Pourtant, Kristen et Robert se montrent particulièrement discrets, se refusant à faire la moindre déclaration sur le sujet.
La vitesse supérieure a désormais été enclenchée puisque le couple - n'ayons pas peur des mots - s'est affiché là où tous les objectifs du monde entier sont braqués : au Festival de Cannes. En effet, alors que Kristen Stewart montait les marches le 23 mai pour la projection de Sur la route, adaptation du roman de Jack Kerouac, suivait un peu plus loin son Bel Ami Robert Pattinson. Il n'y avait qu'un pas vers l'officialisation... Certes, l'acteur va présenter à Cannes Cosmopolis de David Cronenberg le 25 mai, mais pourquoi serait-il venu deux jours plus tôt pour un tapis rouge qui n'est pas le sien, si ce n'est par amour ?
A présent, dans une vidéo de 20minutes.fr, on découvre les amoureux se bécotant lors de la soirée Sur la route au Magic Garden Club. Contre la fenêtre, on distingue parfaitement le visage de Robert Pattinson et celui de Kristen Stewart est, certes partiellement caché, mais il demeure reconnaissable. Reste à attendre désormais la montée des marches de Cosmopolis, le 25 mai, pour voir s'ils osent aller plus loin et, qui sait, se tenir la main sur le tapis rouge ? Essayons de ne pas trop rêver, mais...