C'est une glaçante nouvelle qu'a partagé Cécile de Ménibus sur Twitter samedi 29 août 2020. La journaliste de 49 ans, qui se prépare à faire sa rentrée sur SudRadio, a constaté avec effroi que son domicile en Aquitaine avait été la scène d'une tentative de cambriolage. Pire encore, son chien a été violemment pris pour cible par les malfaiteurs.
"Après une intrusion dans la maison, les individus on tabassé notre chien qui se remet doucement. Merci à la @Gendarmerie #Lesparre pour leur travail de soutien et de protection et d'investigation", a-t-elle confié. En réponse à un internaute qui se demandait pourquoi aucune alarme n'avait été déclenchée, l'ancienne complice de Cauet a précisé avoir été "sur place" lors de cette mésaventure. Choqués, ils ont été nombreux à lui apporter son soutien en commentaires. "Peu de mots pour qualifier cet acte si ce n'est une lâcheté extrême. S'en prendre aux animaux est la définition même de la faiblesse cruelle et crasse", s'est notamment insurgé l'un de ses abonnés. Des fins de vacances éprouvantes donc pour Cécile de Ménibus et son compagnon Thierry Tourault.
Cécile de Ménibus apparaissait pourtant des plus heureuses ces derniers temps sur ses réseaux sociaux, après avoir opéré une reconversion professionnelle et relevé le défi de décrocher un diplôme de Sciences Po. En mai dernier, elle incitait d'ailleurs sa communauté à faire le point sur ses envies suite au confinement. "On peut se réorienter et apprendre un nouveau job même après 40 ans. Renseignez-vous et sautez le pas si c'est important pour vous. Je n'avais pas plus de chance de réussir que n'importe qui et bien au contraire."
Reste que la journaliste sera toujours aussi présente dans les médias mais aussi dans les librairies. En effet, elle s'apprête à publier son premier roman, intitulé Je voudrais tout prendre d'elle. Attendu en octobre prochain, l'ouvrage raconte l'histoire d'une mère et sa fille adulte qui entreprennent de se consoler ensemble suite au décès de leur fille pour l'une et soeur pour l'autre. Une histoire inspirée de la vie de Cécile de Ménibus qui a souffert du suicide de sa soeur à l'âge de 44 ans. "On ne s'en remet jamais. Nous avions quinze mois d'écart et avons été élevées comme des jumelles. J'étais l'optimiste, ma grande soeur subissait le poids du passé. Un jour, le fardeau a été trop lourd à porter pour elle...", avait-elle expliqué au magazine Public.