Entre Céline Dion et la mode, c'est une longue histoire d'amour pas toujours évidente. Si la chanteuse au goût prononcé pour les chaussures est devenue une icône de style depuis quelques années - grâce au styliste Law Roach puis Pepe Munoz -, elle n'a pas toujours été saluée pour ses choix vestimentaires. Dans les années 1990, alors qu'elle dominait les charts du monde entier, elle était surtout saluée pour sa voix unique plus que pour son sens du look. Sur les photos d'époque, on remarque toutefois qu'elle était devenue accro à une robe en particulier.
C'est un compte fan de la chanteuse, qui vient d'annoncer un énième report des dates européennes de la tournée Courage World Tour au grand désarroi de son public, qui a eu l'oeil acéré et a relevé la présence d'une pièce revenant à plusieurs reprises dans la garde-robe de Céline Dion. Entre 1995 et 1996, elle a ainsi porté à différentes occasions une robe blanche fluide et légère, à fines bretelles, parsemée de perles. On a pu la voir sur le dos de la chanteuse lors d'un shooting promotionnel pour les besoin de l'album Falling Into You mais aussi lorsqu'elle a assisté avec son mari René Angélil au match de boxe opposant Mike Tyson à Peter McNeeley à Las Vegas ou encore lorsqu'elle participait à la cérémonie des World Music Awards à Monaco ainsi qu'aux Brit Awards à Londres...
Céline Dion, qui a multiplié les gros coups mode ces dernières années - et quelques polémiques comme lorsqu'elle a porté un manteau en python -, est du genre à ne pas regarder à la dépense pour se vêtir. D'ailleurs, contrairement à l'immense majorité du show business, l'interprète de My Heart Will Go On possède ce qu'elle porte. "Céline est une des rares célébrités qui préfèrent acquérir leurs chics robes et autres accessoires 'à l'ancienne' : en les achetant !", pouvait-on lire en 2007 dans un article de W Magazine. Ce qui ne veut pas dire que la star de 54 ans refuse de se faire prêter des choses par les maisons de couture. Mais avec une fortune estimée par Forbes aux alentours de 460 millions de dollars, on comprend que la mère de René-Charles et des jumeaux Nelson et Eddy puisse se permettre de dépenser sans compter auprès de l'industrie de la mode.