Cheyann Shaw, athlète américaine de bodybuilding, est décédée à l'âge de 27 ans. Le mardi 5 janvier 2020, sa famille a annoncé sa mort via un communiqué publié sur le compte Instagram de l'influenceuse. "C'est avec le coeur lourd que nous annonçons que notre merveilleuse fille Cheyann est partie au Ciel. S'il y a quelque chose que Cheyann nous a appris, c'est que peu importe les batailles que l'on traverse, on peut toujours trouver une raison de sourire", a-t-il été annoncé.
Depuis plusieurs années, Cheyann Shaw était atteinte d'un cancer des ovaires. Elle partageait son combat avec ses abonnés. Pendant un temps, les médecins la pensaient sortie d'affaire, avant que la maladie ne resurgisse. "Mon coeur se brise aujourd'hui, notre fille a perdu sa longue bataille contre le cancer des ovaires. Elle s'est battue jusqu'à la fin. Elle est une vraie battante et une survivante. Elle nous manquera grandement, et sera dans mon coeur pour toujours", a confié sa mère, Darci Clark.
En 2016, les médecins ont découvert que Cheyann Shaw était atteinte d'un cancer des ovaires de stade 4. "Quand j'ai été diagnostiquée pour la première fois, j'étais effrayée mais je savais que je n'avais pas d'autre choix que de me battre. Je n'allais pas laisser le cancer gagner", expliquait l'influenceuse à People en décembre 2016. Après cinq heures en salle d'opération et l'ablation de sa rate, son appendice, une partie du colon et une hystérectomie en plus d'un traitement en chimiothérapie, les médecins lui ont annoncé un an après qu'il n'y avait aucune trace de cancer dans son corps.
Depuis ce jour de novembre 2017, elle avait repris l'entraînement et donnait régulièrement des nouvelles de sa santé. Le 15 janvier 2020, un jour après son 27e anniversaire, elle expliquait avoir un nouveau cancer de stade 4 dans l'un de ses ganglions lymphatiques. Après avoir recommencé la chimio au mois de mars, elle avait connu plusieurs hospitalisations pour des problèmes de foie. Cheyann Shaw s'apprêtait à fêter le huitième anniversaire de son couple, avec son mari Kaleb.