En mai dernier, elle a fait une belle frayeur à ses proches en lâchant sur les réseaux sociaux qu'elle avait replongé après une longue période de sobriété. Mais visiblement, plus de peur que de mal : il semblerait bien que, malgré tout, Chloe Lattanzi, fille unique d'Olivia Newton-John, n'ait pas été définitivement été happée par une violente rechute. Preuve en est, la blonde de 29 ans vient de s'afficher plus rayonnante que jamais sur Instagram à l'occasion d'un photoshoot glamour et sexy.
Brigitte Bardot version 2014 et surtout version Californienne, Chloe Lattanzi s'expose en effet en lingerie fine. L'occasion pour la sculpturale Américaine de dévoiler qu'elle a bel et bien hérité des bons gènes de ses illustres parents (son père Matt Lattanzi est un acteur d'origine italienne). Professionnelle jusqu'au bout des ongles, la fille d'Olivia Newton-John, dont le passé sombre en matière de drogues et d'alcool est désormais de notoriété publique, se montre épanouie et semble être dans son élément.
À 29 ans, Chloe Lattanzi aurait-elle pour de bon l'intention de lancer sa propre carrière ? Aspirant mannequin, la jeune femme a en tout cas pu compter sur le soutien de sa célèbre maman pour ne pas s'éloigner une nouvelle fois du droit chemin. Comme le souligne le Daily Mail, pourtant actuellement en résidence au Flamingo Hotel de Las Vegas où elle livre une série de concerts exceptionnels, Olivia Newton-John n'a pas hésité à se rendre au chevet de Chloe pour s'assurer que cette dernière ne céderait pas, à nouveau, aux sirènes de ses vieux démons.
De toute évidence, l'"intervention" a eu l'effet espéré. À tel point que la principale intéressée n'a pas hésité à faire une petite déclaration d'amour destinée à sa génitrice. "J'aime ma mère", a-t-elle ainsi fait savoir sur le web à ses nombreux admirateurs. Il ne serait d'ailleurs pas impossible que le duo transpose cette complicité au niveau professionnel puisqu'il se murmure que mère et fille travailleraient activement sur un projet très secret dont on ne connaîtra probablement les contours que le moment venu...