EXCLU EN PRIVÉ AVEC Adeline Toniutti : son ex menait une double vie, "j'ai essayé d'accorder ma confiance mais..."

Le 23 octobre dernier, Adeline Toniutti a sorti son nouveau livre Anatomie du chant, aux éditions Marabout. A cette occasion, l'ancienne professeur de la Star Academy s'est confiée sur son nouveau projet, dans En privé avec, mais pas que ! Auprès de Purepeople, elle a aussi parlé d'amour.

Son histoire a bouleversé le public. En plus d'avoir connu un accident domestique qui lui a fait perdre sa voix durant plusieurs mois, Adeline Toniutti a dû affronter les violences de son compagnon de l'époque. Un sujet qu'elle a évoqué dans son ouvrage Incandescente pour toujours. "Je ne vous dit pas la douleur que j'avais en écrivant le livre. Je voulais arrêter tous les jours. (...) Je voulais mourir tous les jours", a-t-elle avoué à Purepeople. Puis, elle est revenue sur des détails de cette période sombre de sa vie.

Son ex-compagnon l'a notamment menacée à plusieurs reprises de tuer ses parents si elle partait. "Cinq minutes avant, on vous a étranglée, cinq minutes avant on vous a mis une gifle. (...) On vous fait des violences sexuelles et physiques, et on vous dit que c'est parce que vous n'êtes pas à la hauteur. Ce sont en plus des gens qui manipulent votre entourage. Vous êtes emprisonnées. Il faut beaucoup de courage pour partir", s'est-elle souvenue.

Fort heureusement, Adeline Toniutti a trouvé le courage de partir et s'est relevée depuis. Elle a même trouvé le courage de faire de nouveau confiance à un homme. "Oui, alors j'ai déjà essayé d'accorder ma confiance, mais ça s'est soldé par un échec. Je n'ai pas été frappée et tout ça mais, monsieur en avait une autre. Je me suis fait tromper, donc ça n'a pas été très sympa. A croire que quand je parle des hommes, ça ne fait pas de la pub à la gent masculine", a-t-elle confié. Malgré tout, elle ne désespère pas et sait qu'un jour, elle finira par trouver la perle rare avec laquelle "ça ira très très bien".

Contenu exclusif ne pouvant être repris sans la mention Purepeople.