Chrissy Teigen brisée par sa fausse couche : son message déchirant à la sortie de l'hôpital

Sa peine est si grande qu'elle est impossible à réaliser. Le jeudi 1er octobre 2020, Chrissy Teigen et son mari John Legend ont annoncé une nouvelle insupportable. Alors qu'ils pensaient accueillir leur troisième enfant dans un cocon d'amour et de joie, les amoureux ont dû faire face à une fausse couche survenue sur le tard. À la fin du mois de septembre, la future maman avait été hospitalisée à cause de saignements anormaux venant de son placenta. Voilà qu'elle quitte l'établissement avec un vide au coeur. "On rentre à la maison sans notre bébé, a-t-elle écrit sur Twitter. Comment est-ce que tout ça peut être réel ?"

À toi notre Jack

Chrissy Teigen et John Legend avaient attendu, par prudence, le mois d'août 2020 pour annoncer que la famille allait s'agrandir. Aujourd'hui, le couple pleure ce bébé, ce petit garçon qui aurait dû s'appeler Jack. "Il a lutté si fort pour faire partie de notre petite famille, et il sera avec nous pour toujours, explique l'animatrice sur les réseaux sociaux. À toi notre Jack. Je suis si triste que les premiers instants de ta vie aient été si douloureux, que nous n'ayons pu te donner ce dont tu avais besoin pour survivre. Nous t'aimerons pour toujours."

Nous sommes choqués et traversons une peine terrible

La joie de vivre est dans leur ADN. Parents de Luna(4 ans) et de Miles (2 ans), Chrissy Teigen et John Legend parviennent à traverser toutes les épreuves main dans la main, sourire aux lèvres. Mais cette fois-ci était sans doute celle de trop. Sur les réseaux sociaux, la belle Américaine de 34 ans a partagé plusieurs photographies en noir et blanc pour exorciser sa douleur immense. Sur l'un des clichés, elle tient, en larmes, son bébé prématuré enveloppé dans un drap. "Nous sommes choqués et traversons une peine terrible, le genre de peine que nous n'avions jamais ressentie, ajoute-t-elle. Nous n'avons pas réussi à arrêter les saignements, malgré des litres et des litres de perfusions, ça n'a pas suffi..."