Le terme approche pour Clémentine Sarlat, actuellement enceinte de son troisième enfant. L'épouse de Clément Marienval a débuté son congé maternité, le 17 janvier 2022. Et on peut dire que sa première semaine s'annonce mouvementée.
Lundi, la journaliste sportive spécialisée dans le rugby, l'athlétisme et le tennis (qui est professeure diplômée de yoga pré et post natal en plus de s'occuper de trois podcast et d'apparaître ponctuellement à la télévision) a annoncé à sa communauté que son congé maternité venait de débuter. L'occasion pour elle de dévoiler le sexe de son troisième bébé. "9e mois... dernière ligne droite avant cette 3e petite fille. Yes, chez nous on ne fait que dans le girl power... Mode congé maternité activé. Mode on fait son nid activé (yep nous sommes des mammifères et généralement à la fin de la grossesse on a envie de refaire toute la déco, de tout nettoyer, ranger... pour préparer l'arrivée de bébé... même quand on est une grande bordélique comme moi)", a-t-elle écrit. Et de préciser que le "mode repos pas vraiment activé avec bébé cas contact".
En story, les internautes ont donc eu le plaisir de découvrir Clémentine Sarlat avec sa petite Jasmine (1 an). Celle qui est aussi l'heureuse maman d'Ella (4 ans) s'est filmée en train d'inonder sa merveille de bisous. Mais, vers la fin de la journée, c'est une mauvaise nouvelle qu'elle a annoncée. La belle blonde de 33 ans a partagé la capture d'écran d'un mail dans lequel il est expliqué que la crèche de Jasmine allait fermer pendant une semaine, car trois enfants ont été testés positifs à la Covid-19. "Et vive le congé maternité en mode garderie", a-t-elle ensuite écrit en légende d'une photo de ses filles et elle.
C'est donc dans un contexte particulier lié à la crise sanitaire que Clémentine Sarlat va accoucher. Mais elle ne compte pas se rendre à l'hôpital. Comme pour Jasmine, elle souhaite donner naissance à son troisième enfant chez elle. "J'ai accouché à la maison. C'était l'expérience la plus extraordinaire de toute ma vie. (...) Quand on est à la maison, on a notre sage-femme. On ne peut que être bien. Ce n'est pas obligé que ça se passe bien mais, en tout cas, les conditions de base sont là et elles sont respectées. Evidemment, les transferts d'urgence ça existe", avait-elle notamment confié en novembre dernier à Loopsider.