C'est peut-être la fin d'une affaire déroutante. La presse s'était emparée de cette histoire selon laquelle la productrice Livia Giuggioli, épouse de Colin Firth depuis 1997, et le journaliste italien Marco Brancaccia avaient eu une brève idylle entre 2015 et 2016, lorsque la star britannique et sa femme ont fait un break avant de se remettre ensemble. Colin Firth et Livia avaient ensuite accusé publiquement le journaliste de harcèlement. Livia avait même porté plainte. Le coupable présumé avait toutefois publiquement nié ces accusations, assurant qu'il n'avait contacté le couple que deux ou trois fois depuis sa liaison – qui a duré onze mois selon lui – avec l'épouse de l'acteur. On apprend aujourd'hui, selon The Sun, que les charges ont été abandonnées à Rome, où la plainte avait été déposée, et qu'un accord avait été trouvé entre les deux parties.
"Dans l'intérêt des famille, les parties ont trouvé un accord privé", écrivent les avocats dans un communiqué, précisant qu'une demande a été formulée auprès de la cour pour le report de l'audience préliminaire destiné à officialiser cet accord. Ce dernier stipule d'ailleurs qu'aucune des deux parties n'a le droit de commenter publiquement cette affaire.
Lorsque l'affaire avait éclaté, Giuggioli et Firth avaient envoyé un communiqué de presse accusant l'Italien. "Il y a quelques années, Colin et Livia ont pris la décision en privé de se séparer. Pendant cette période, Livia a eu une brève liaison avec un ancien ami, M. Brancaccia. Depuis, les Firth sont de nouveau ensemble, précise ce communiqué. Suite à cela, M. Brancaccia s'est lancé dans une campagne de harcèlement effrayante pendant plusieurs mois, ce qui a été consigné. Du fait de son harcèlement, ses menaces et son refus d'arrêter, une plainte a été déposée auprès des autorités italiennes."
Accusé à tort selon lui, Marco Brancaccia a fait une déclaration au très sérieux magazine People. "La vérité, c'est que Livia et moi, on se connaît depuis qu'on est enfants. Et en 2015-2016, on a eu une relation amoureuse qui a duré onze mois, explique-t-il. Une fois que ça s'est terminé, en juin 2016, je ne l'ai plus appelée. Je lui ai envoyé deux messages sur WhatsApp, un [texto] pour lui souhaiter un bon anniversaire et j'ai envoyé un e-mail à Colin, que je regrette énormément."
Dans ce mail, le journaliste révèle en effet au héros de Bridget Jones qu'il a eu une relation avec celle qui est restée sa femme. Un coup de colère selon Brancaccia. "Je l'ai envoyé dans un moment de frustration, de tristesse, où je me sentais mal. Dans cet e-mail à Colin – que je regrette sincèrement d'avoir envoyé, maintenant –, je l'informais de ma liaison avec Livia, a-t-il avoué. Aujourd'hui, je n'enverrais pas cet e-mail. C'était une grave erreur, je m'en suis même excusé. Mais prendre ça et dire que je les harcèle, ce n'est pas juste."
"Avec mes avocats, on a établi que tout ce qui était écrit dans la plainte de Livia était calomnieux. Je n'ai jamais menacé Livia ni aucun autre membre de sa famille", certifiait-il à l'époque.