
L’expérience Mariés au premier regard 2025 a été encore plus particulière pour Coralie. C’est à l’aveugle qu’elle a dit “oui” à Bruno (avec lequel elle est compatible à 78%) dans un premier temps, avant de confirmer sa réponse. Tout au long de la journée, la belle blonde de 37 ans a eu de nombreuses surprises. La dernière est que son mari lui a demandé de le suivre alors que la soirée ne venait que commencer.
Lors de l’épisode 5 du 31 mars (déjà disponible sur M6+), on a découvert que les tourtereaux se sont directement envolés pour leur lune de miel. Ils ont embarqué à bord d’un bateau afin d’aller où bon leur semblait, un “pari osé” qui a plu à l’infirmière libérale. Cette dernière se sentait bien et appréciait que Bruno prenne soin d’elle. Au moment de se coucher, elle a enfilé une petite nuisette en soie rouge. En revanche, zéro effort du côté du père de famille de 42 ans qui a enfilé un t-shirt et un caleçon. Une situation qui a fait rire la candidate.
Tous deux ont vécu “une nuit de noces pas comme les autres”, sur le catamaran Mais très vite, un détail a chiffonné la jeune femme. “J’espère que ce ne sera pas comme ça tout le voyage de noces. Il ne me laisse pas forcément la liberté de choisir. Il faut qu’on casse ce schéma. Aujourd’hui, j’ai besoin de partager mes prises de décision. Je ne sais pas si je vais toujours réussir à suivre .Il m’a beaucoup mise à l’épreuve. Il a beaucoup testé mon implication, déjà par le biais de tout ce qu’il m’a demandé de faire avant de passer à la cérémonie des voeux. Je voudrais qu’il réalise que maintenant, on est tous les deux”, a confié Coralie qui a en outre découvert qu’elle avait le mal de mer. Elle attendait donc que son époux lui demande ce qu’elle avait envie de faire.
Malgré tout, elle a fait du paddle pour lui faire plaisir. Une fois de plus, elle a fait face à un homme qui aime tout contrôler. “Je me demande si c’est quelqu’un comme ça tout le temps. J’ai besoin de savoir s’il a besoin de driver sa femme. Ce ne serait pas forcément compatible avec ma personnalité. Je suis un peu perdue, ça me perturbe”, a-t-elle avoué. La première ombre au tableau donc.