Quelques jours avant le fameux dîner d'État donné à Versailles, en l'honneur de la a venue de Charles III, en France, le menu avait été dévoilé. Pour régaler les papilles des 160 convives et de Charles et Camilla, trois grands chefs étoilés ont été missionnés. Et ce jeudi 21 septembre, au lendemain de ce dîner qui a vu défiler des invités prestigieux comme Charlotte Gainsbourg, en robe ultra-fendue, ou encore Hugh Grant charmeur, une des têtes célèbres qui s'est trouvée à table avec le souverain britannique balance sur la soirée. Sur BFMTV, c'est en effet Guillaume Durand qui a vendu la mèche sur le déroulé du dîner et le menu... peu copieux. Il a enfin dévoilé le cadeau remis à chaque invité. "L'ambiance était chaleureuse", a-t-il confié.
L'entrée avait été concoctée par Anne-Sophie Pic, le plat par Yannick Alléno, quant au dessert, le célébrissime Pierre Hermé s'en est chargé. Au menu donc, homard bleu et tourteau de casier, servi avec un voile d'amande fraîche et de la menthe coq, volaille de Bresse, au parfum de maïs et gratin de cèpes, fromage et biscuit Ispahan à base de macaron rose et sorbet litchi. Mais visiblement, le journaliste de 70 ans est resté sur sa faim. "3 plats pas très copieux", a fait savoir Guillaume Durand, frappé par un cancer douloureux, sur le plateau de l'émission de Bruce Toussaint ce jour. Il a fait état d'une soirée plutôt courte, en rapport aux dîners d'État auxquels il a participé. Au sujet du menu, il a confié que la volaille n'était pas "gigantesque", mais que c'était "très bon". "Le dessert de Pierre Hermé était un des moins sucré des desserts de Pierre Hermé que j'ai jamais goûté", a-t-il fait savoir.
Visiblement, Guillaume Durand n'a pas non plus été très conquis par les discussions de ses voisins, des "conversations assez stratosphériques sur l'état du monde", selon lui. Durant ce dîner dans la galerie des Glaces de Versailles, endroit "absolument sublime", le roi Charles III s'est imposé comme le chef d'État britannique, "l'équivalent du président français". Guillaume Durand a tenu à rappeler qu'il ne s'agissait pas d'un simple dîner mais surtout d'un "instrument diplomatique", un "appareil politique", en raison de la présence des "principaux chefs d'entreprises", de "représentants des corps constitués". "Ma voisine je ne la dénoncerai pas, on a plutôt parlé de la vente à perte, des problèmes écologiques tout ça décontractée, avec le homard de Yannick Alléno", a-t-il déclaré.
Enfin, l'homme féru d'histoire a dévoilé le cadeau remis à chaque invité à la fin du dîner, une médaille assez lourde, qu'il a ramenée avec lui sur BFMTV. Finalement, il a été conquis par ce dîner puisqu'à la fin il a pu échanger avec Mick Jagger, pendant 30 secondes. "En tant qu'enfant du rock, c'était quelque chose d'important", a-t-il rapporté. Guillaume Durand a continué à propos de l'icône britannique : "Il avait l'air en pleine forme, sa femme était ravissante."