Richard Lugner n'est pas n'importe qui. Le milliardaire autrichien s'offre chaque année une célébrité féminine pour être sa cavalière lors du fameux Bal de l'Opéra de Vienne, l'un des rendez-vous mondains incontournables de la capitale d'Autriche. Cette année, le jeune marié de 82 ans s'est offert la belle Elisabetta Canalis...
Loin de la polémique et du mini-scandale qui avait suivi la venue de Kim Kardashian l'an passé contre 500 000 dollars, l'entrepreneur qui a fait fortune dans la construction avait cette fois-ci fait appel à la sublime Elisabetta Canalis, dont la plastique avantageuse est aussi connue que sa relation avec George Clooney. Après avoir récupéré son invitée de prestige la veille, et l'avoir emmenée dans son fameux centre commercial pour une conférence de presse, Richard Lugner en a profité pour présenter l'Italienne à son épouse, Cathy, ancienne playmate de 24 ans connue sous le nom de Cathy "Spatzi" Schmidt. En petit ensemble noir, la belle Elisabetta faisait déjà planer un air de glamour sur la soirée du lendemain...
Et le 12 février, l'animatrice et mannequin n'a pas manqué son entrée à l'Opéra d'État de Vienne. Dans une sublime et très audacieuse robe bustier de soirée d'un rouge écarlate signée Vivienne Westwood, Elisabetta Canalis a hypnotisé la salle, où s'était réuni tout le gratin de Vienne. Malgré les efforts de Cathy Lugner, c'est bien l'ex de George Clooney qui accaparait tous les regards. Et Richard Lugner ne s'y est pas trompé, puisqu'il a passé la soirée au bras de son invitée d'honneur, délaissant sa très jeune épouse.
Regard libidineux et sourire entendu, le milliardaire n'a pas manqué d'inviter la belle pour la première danse après un dîner en loge. Sur les coups de 23h30, Elizabetta a rejoint la piste de danse pour une valse "de Vienne", tournoyant comme elle sait si bien le faire. Lorsque soudain, la robe a légèrement glissé, offrant à la vue des nombreux convives un bout de sein... Une vision inattendue qui a immédiatement effacé le grand sourire de l'invitée d'honneur, laquelle passa le reste de la soirée main sur la poitrine, afin de s'assurer que rien d'autre ne se ferait la malle. Ou la valse...