A l'instar de Julien Tanti (Les Marseillais), Aurélie Dotremont (L'île des vérités, Carré Viiip) ou Hillary Vande (Les Ch'tis), Elodie a accepté de tenter l'aventure Moundir et les apprentis aventuriers. Le principe ? Relever des épreuves avec son binôme afin d'avoir un confort de vie plus avantageux ou tout simplement, pour ne pas se faire éliminer de la compétition. A l'occasion de la diffusion des deux premiers épisodes, lundi 23 mai, sur W9, la jolie blonde s'est prêtée au jeu de l'interview avec TV Mag.
Ainsi a-t-on appris que la jeune femme de 23 ans a été contactée par la production sur Facebook. Et elle a accepté leur proposition sans réfléchir, mais non sans crainte : "Ma seule appréhension était de savoir si j'allais bien m'intégrer au groupe et si les autres candidats allaient être gentils avec moi." Si elle ne dit pas comment était l'entente avec les autres aventuriers, la jolie blonde assure qu'avec Greg - son co-équipier de l'aventure - le courant est parfaitement passé.
Il se pourrait même qu'Elodie ait trouvé l'amour pendant le tournage : "J'ai vécu une longue relation de quatre ans mais depuis quelques mois, je suis célibataire (...). Avec tous ces beaux garçons, je n'allais pas me refuser la possibilité d'entamer une relation si quelqu'un me plaisait." Avec son physique avantageux, imagine que l'Alsacienne a fait tourner des têtes. Ce qui est certain, c'est qu'elle a presque fait tourner celles du jury de Miss Prestige National. "Je viens d'Alsace et je suis assistante de direction en Suisse dans un cabinet de radiologie (...). À côté de ça, je fais du mannequinat, j'ai déjà participé à des défilés et participé à des concours. J'étais première dauphine de Miss Prestige Alsace en 2014", a-t-elle révélé.
On sait également que Moundir et les apprentis aventuriers a changé la vie d'Elodie. Malgré le manque de nourriture et celui de ses proches, la candidate a vécu une histoire hors du commun, en Thaïlande : "Aujourd'hui encore, j'ai l'impression que je ne me suis pas remise de cette aventure. Je suis très nostalgique parce que ça m'a appris à vivre autrement, sans téléphone portable, sans ordinateur, sans véritable confort... Nos préoccupations étaient toutes simples, trouver à manger, faire du feu... Ça faisait du bien."