Ce mercredi 11 décembre, Enora Malagré était l’invitée du Buzz TV où elle a présenté son dernier documentaire Demain j’arrête !, disponible sur Canal+ Docs, et s’est confiée sur ses diverses addictions. Notamment sur celle du sucre, qui a fini par toucher son compagnon Hugo : "Il est tombé dedans à cause de moi. Je l'ai rencontré, il ne mangeait pas de sucres." Elle a également abordé ce sujet pour Femme Actuelle, revenant notamment pour le magazine sur la manière dont elle est parvenue à arrêter cette consommation, et tous les bienfaits qu’elle ressent désormais.
"Au début, j'ai essayé d'arrêter soudainement, et les crises de manque sont arrivées. Donc j'ai décidé de diminuer progressivement.", a-t-elle expliqué dans un premier temps, elle qui a commencé par arrêter de boire tout ce qui est boissons sucrées et sodas. Sans oublier les bonbons. La première bonne conséquence de cette décision, c'est la perte de poids. L'ex-chroniqueuse de Touche pas à mon poste a perdu 7 kilos "en très peu de temps". Elle a également l'impression d'être "beaucoup plus d'humeur égale". Fini "les crises de transpiration". Elle est "moins engourdie" au réveil et ne se sent plus "vaseuse".
N'oublions pas qu'Enora Malagré est atteinte d'endométriose, une maladie chronique qui toucherait 10% des femmes à échelle mondiale. Et à ce niveau-là, la suppression du sucre dans son alimentation a également eu un impact positif : "Les crises sont toujours là, mais moins fortes". Le fait d'avoir une alimentation "moins inflammatoire endort" un peu sa maladie. Mais attention, cela, hélas, "ne guérit pas du tout". "Mais ca aide vraiment." Car l'endométriose fait gonfler le ventre, mais lorsqu'on arrête le sucre, "le bide hormonal est un peu moins gros".
Mais "le plus difficile" dans sa nouvelle vie sans sucre, c'est de savoir comment remplacer ces petits plaisirs sucrés par autre chose : "Je ne vous cache pas que quelques ongles y sont passés ! Parfois, on a l'impression de s'ennuyer." Pour combattre cet ennui, soit elle écoute de la musique, soit elle sort dehors. Mais attention, elle n'a pas arrêté le sucre à 100% : "Je m'autorise parfois à craquer, parce que c'est dans ma nature. Il faut pas que cela devienne une plaie, trop une contrainte, car sinon cela devient un interdit que l'on a envie de transgresser."
Elle aura ainsi le droit à son "petit morceau de bûche" à Noël. Mais peut-on vraiment lui en vouloir pour ça ? Probablement pas !