Le 19 juin dernier, après 199 participations, le candidat breton de 46 ans Éric des 12 Coups de midi se faisait éliminer par Colas, un analyste financier de 28 ans. Il ne repartait cependant pas bredouille puisqu'il a réussi à récolter la coquette somme de 921 316 euros. Un joli chèque qu'il ne compte toutefois pas faire dépenser n'importe comment. Dans les pages pages du nouveau numéro de Gala, paru ce jeudi 2 juillet 2020, il parle de sa victoire, mais aussi de son prédécesseur.
Dans le magazine, Éric explique vouloir se montrer raisonnable, en accord avec sa femme Stéphanie. "Pendant l'émission, j'avais dit que je m'achèterais peut-être une guitare de collection ou quelque chose comme ça, mais finalement, je ne me suis rien offert de particulièrement onéreux. Nous allons certainement investir dans un pavillon plus grand que celui qu'on possède maintenant ou un agrandissement de notre maison actuelle. Ce ne sera rien d'extraordinaire", a-t-il confié. En outre, Éric va même reprendre le chemin du travail, celui de dessinateur-projeteur dans le bâtiment : "Ça ne me permet pas non plus d'arrêter de travailler donc je vais garder le même train de vie."
En plus d'avoir passé une aventure exceptionnelle au côté de Jean-Luc Reichmann pendant plusieurs mois, Éric a obtenu la satisfaction de battre le record de Christian Quesada, devenu un paria du jeu de TF1 depuis qu'il a été condamné pour corruption de mineures et détention et diffusion d'images pédopornographiques. Jusqu'ici, il demeurait le plus grand Maître de midi de l'histoire du jeu avec plus de 800 000 euros de gains et 193 participations. Il s'agit donc d'un véritable soulagement pour l'animateur et la production qui n'auront plus jamais à l'évoquer. "Pour moi, et pour bon nombre de personnes je crois, c'était important que quelqu'un d'autre de... comment dire... de plus présentable parvienne à la tête du classement. Il s'est suffisamment signalé par ses actes de malveillance pour ne plus mériter d'être premier", a lancé Éric pour Gala, confirmant que "plus personne n'a[vait] envie de s'en souvenir". La page peut désormais, et une bonne fois pour toutes, se tourner.