La notoriété n'a pas que du bon. Amandine Pellissard - qui vient d'annoncer qu'elle a été victime d'une fausse couche - ne le sait que trop bien. La candidate de Familles nombreuses, la vie en XXL s'est fait voler ses données personnelles à des fins privées par un agent de la CAF. Une histoire qu'elle a racontée sur ses réseaux sociaux. Et à l'occasion d'un live, le 10 juillet, elle a révélé qu'elle n'était pas la seule famille de l'émission de TF1 à avoir vécu cette situation.
"Cette personne a aussi des photos d'une autre famille de l'émission", a tout d'abord déclaré l'épouse d'Alexandre. Elle a ensuite dévoilé qu'il s'agissait de la famille Santoro : "Je peux le dire parce qu'elle m'a dit que je pouvais le dire : c'est Camille. Camille a eu le même problème. Son dossier a été usurpé par cette personne, elle a été avisée aussi. (...) Cette dame a fait les photos de son écran de PC pro avec son téléphone personnel et en plus les photos se sont retrouvées dans le téléphone d'une mineure de 13 ans." La jolie blonde a préféré ne pas en parler sur ses réseaux sociaux par "peur de s'énerver'. Fort heureusement, comme Amandine, elle n'a pas laissé passer cette affaire. Elle compte en effet porter plainte.
"Il y avait même des photos de la télé avec moi et de Camille aussi à la télé, dans son téléphone. Les familles auraient dû être prévenues mais la CAF aurait estimé le contraire. Je ne lâcherai pas (...) C'est de la malveillance. (...) Ils ont voulu étouffer l'affaire, mais manque de bol c'est revenu à mes oreilles. J'ai contacté une avocate, je dépose plainte lundi matin", a conclu Amandine.
C'est début juillet que la brunette a révélé qu'un agent de la CAF, organisme dont elle bénéficie, avait usurpé son identité et collecté ses données personnelles afin de les utiliser pour des fins privées. A la suite de sa prise de parole, Amandine Pellissard a été contactée par l'"un des protagonistes de cette affaire, qui était au fait des agissements de cette dame". Ladite femme aurait "fait ça par simple curiosité, du fait de [leur] positionnement médiatique". Une explication à laquelle la maman qui est à la tête d'une tribu de huit enfants ne croit pas.
La coupable n'a écopé que d'une "simple mise à pied sans solde". Une sanction beaucoup trop légère aux yeux de la maman qui compte saisir la justice pour obtenir gain de cause. L'usurpatrice encourt cinq ans de prison et 300 000 euros d'amende.