Au cours du week-end, Amandine Pellissard a eu la mauvaise surprise d'apprendre que son identité avait été usurpée. Une situation que rencontrent malheureusement de nombreuses personnalités du petit écran. La candidate de Familles nombreuses, la vie en XXL a également révélé que la responsable de ce délit était une agent de la CAF, l'organisme qui lui permet de toucher ses allocations.
Mardi 6 juillet 2021, la maman de huit enfants qui est enceinte de son neuvième s'est saisie de son compte Instagram pour faire de nouvelles confidences à ce sujet, toujours avec beaucoup de colère. "C'est tellement honteux, inadmissible de la part d'une administration comme la CAF. Suite à la prise de parole que j'ai faite ce week-end, j'ai eu un retour d'un des protagonistes de cette affaire, qui était au fait des agissements de cette dame", a-t-elle révélé.
Elle encourt cinq ans de prison
D'après la personne avec qui elle a échangé, l'usurpatrice "avait fait ça par simple curiosité, du fait de [leur] positionnement médiatique". Mais pour Amandine Pellissard, cette explication est une manière d'enterrer toute l'affaire. "C'est un excès de curiosité foncièrement malsain, a-t-elle déploré. Si ce n'était que de la curiosité, elle aurait pu se contenter de le consulter sur son PC, et ne pas prendre des photos avec son téléphone personnel. Or, c'est ce qu'elle a fait : elle a fait des photos de son PC professionnel, dans son bureau de la CAF – il y a même la photo de son tampon CAF avec son nom dessus - avec son téléphone personnel. Je n'ai aucune garantie que mes données n'ont pas été divulguées dans son cercle privé, parce que c'est quelqu'un qui aime à priori beaucoup spéculer sur la vie des autres..."
Pire encore, la coupable n'a écopé que d'une "simple mise à pied sans solde". Une sanction beaucoup trop légère aux yeux de la jolie brune. "Elle n'a même pas été licenciée pour faute grave. La situation a été clairement minimisée, étouffée", s'est-elle insurgée. Décidée à obtenir gain de cause, la femme d'Alexandre compte bien saisir la justice. "Il va de soi que je dépose plainte contre cette personne et que ça se règlera au pénal. Elle encourt cinq ans de prison et 300 000 euros d'amende, prévient-elle. Elle sera condamnée et licenciée. Parce que cette personne malsaine n'a pas à être en possession des données personnelles des allocataires."