Flavie Flament réagit vivement à l'interview publiée dans le quotidien France-Soir ce matin.© Angeli
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Ce matin, le quotidien France-Soir publiait une interview de l'animatrice Flavie Flament : après avoir quitté TF1 en décembre dernier, elle arrive sur RTL avec une émission quotidienne, Tout le plaisir est pour moi, dans laquelle elle recevra des invités qui font l'actualité pour "leur dérouler le tapis rouge".
Cependant, suite à la publication de l'entretien, l'ex-star des grandes soirées de divertissement de TF1 est absolument folle de rage ! Nos confrères du site Ozap.com ont pu obtenir ses réactions à chaud, après la diffusion de propos qu'elle considère comme totalement remaniés et "détournés" de leur sens initial.
"Si vous avez été surpris, moi, j'ai été atterrée ! Suite à 40 minutes d'entretien hier, il n'en ressort que des raccourcis, des propos totalement détournés et, bien évidemment, je n'ai jamais dit que quitter TF1 était une question de santé mentale. On n'est absolument pas dans cet esprit-là avec TF1 et je n'ai aucun compte à régler avec eux. Quand je parlais de santé mentale, j'expliquais qu'il était parfois nécessaire de prendre de la hauteur dans la vie et de savoir prendre du recul. TF1 n'était absolument pas concernée par ces propos, bien évidemment", justifie Flavie.
Elle explique également qu'elle a tenu à rassurer les dirigeants de TF1 et plus particulièrement Fabrice Bailly, directeur adjoint des programmes. Elle n'a aucune rancoeur et ce dernier connaît suffisamment bien le métier et les tabloïds (elle pense donc que France-Soir est un tabloïd !) pour déduire qu'il s'agissait de propos sortis de leur contexte ou retravaillés. "J'ai envoyé un texto à Fabrice Bailly que j'aime beaucoup pour lui faire part de mon étonnement. J'ai eu un retour immédiat de TF1 pour me dire qu'ils me connaissaient assez pour savoir que je ne pouvais pas tenir ce genre de propos. Il n'y a pas de souci", confie-t-elle au site Ozap.
Les propos incriminés sont les suivants : "Quitter TF1, c'était une question de santé mentale ! J'ai été soulagée, j'ai eu tout à coup un sentiment de puissance et de liberté. J'avais l'impression d'être prise dans une machine à laver qui me broyait".
Dans cet entretien, la nouvelle recrue de RTL taclait également l'émission Love & Bluff qui, selon ses déclarations dans France-Soir, lui aurait été refourguée comme une patate chaude : "S'il y a un seul programme que je regrette d'avoir présenté, c'est Love & Bluff. Une émission absolument merdique. La seule raison pour laquelle je l'ai acceptée, c'est parce que j'ai reçu des coups de fil incessants de la chaîne pendant 48 heures. L'animateur qui devait le présenter les avait lâchés".
Pour ce qui est de cette déclaration choc, pas question de démentir : c'est le fond de sa pensée, bien que la façon de l'exprimer n'était pas des plus fines... "J'ai parlé de Love & Bluff comme d'une émission merdique, bon. Il est vrai que 'merdique' fait parfois partie de mon langage. C'est peut-être le seul truc qui m'a échappé, hier, mais ce n'est pas la première fois que je le dis. Love & Bluff est un programme qui ne me correspondait pas du tout à ce moment-là. C'est totalement anecdotique. Mon désaccord avec la télé-réalité, tout le monde est au courant. On m'a poussée à y revenir hier, c'est la seule chose que j'ai dite".
Au sujet des propos qu'on lui attribue sur Laurent Boyer ("Contrairement à lui, être l'amie des stars ne m'intéresse pas. J'ai côtoyé beaucoup de personnalités sur TF1, je ne leur ai jamais tapé dans le dos. Ce n'est pas ma nature !"), elle ajoute : "C'est aberrant ! Comme je le dis dans l'interview, Laurent me connaît depuis que j'ai 14 ans et c'est mon parrain de carrière. Je ne pourrais pas me permettre de m'en prendre à lui dix lignes plus tard. La journaliste me demandait si le fait de ne pas être l'amie des stars n'était pas un problème et j'ai simplement expliqué que Laurent était l'ami des stars, que je n'étais pas réputée pour l'être de mon côté. C'est tout, il n'y avait aucun lien avec Laurent. Quand vous lisez Gala il y a quatre mois, où j'annonce mon arrivée sur RTL, il y a une photo avec Laurent et elle traduit parfaitement notre complicité".
Le directeur de la rédaction de France-Soir, Christian de Villeneuve, annonçait justement son départ, il y a 48 heures, soit moins de six mois après le rachat du titre par l'homme d'affaires russe Alexandre Pugatchev qui a réinjecté 20 millions d'euros dans le projet de restauration du quotidien. Si, à l'heure qu'il est, France-Soir s'écoule à près de 90 000 exemplaires chaque jour en moyenne (contre 20 000 avant le rachat), ce nouveau manquement (souvenez-vous des photos de Johnny en une qui étaient de vieux clichés...) de la rédaction de France-Soir risque de ternir encore un peu la réputation du quotidien.
JO
Cependant, suite à la publication de l'entretien, l'ex-star des grandes soirées de divertissement de TF1 est absolument folle de rage ! Nos confrères du site Ozap.com ont pu obtenir ses réactions à chaud, après la diffusion de propos qu'elle considère comme totalement remaniés et "détournés" de leur sens initial.
"Si vous avez été surpris, moi, j'ai été atterrée ! Suite à 40 minutes d'entretien hier, il n'en ressort que des raccourcis, des propos totalement détournés et, bien évidemment, je n'ai jamais dit que quitter TF1 était une question de santé mentale. On n'est absolument pas dans cet esprit-là avec TF1 et je n'ai aucun compte à régler avec eux. Quand je parlais de santé mentale, j'expliquais qu'il était parfois nécessaire de prendre de la hauteur dans la vie et de savoir prendre du recul. TF1 n'était absolument pas concernée par ces propos, bien évidemment", justifie Flavie.
Elle explique également qu'elle a tenu à rassurer les dirigeants de TF1 et plus particulièrement Fabrice Bailly, directeur adjoint des programmes. Elle n'a aucune rancoeur et ce dernier connaît suffisamment bien le métier et les tabloïds (elle pense donc que France-Soir est un tabloïd !) pour déduire qu'il s'agissait de propos sortis de leur contexte ou retravaillés. "J'ai envoyé un texto à Fabrice Bailly que j'aime beaucoup pour lui faire part de mon étonnement. J'ai eu un retour immédiat de TF1 pour me dire qu'ils me connaissaient assez pour savoir que je ne pouvais pas tenir ce genre de propos. Il n'y a pas de souci", confie-t-elle au site Ozap.
Les propos incriminés sont les suivants : "Quitter TF1, c'était une question de santé mentale ! J'ai été soulagée, j'ai eu tout à coup un sentiment de puissance et de liberté. J'avais l'impression d'être prise dans une machine à laver qui me broyait".
Dans cet entretien, la nouvelle recrue de RTL taclait également l'émission Love & Bluff qui, selon ses déclarations dans France-Soir, lui aurait été refourguée comme une patate chaude : "S'il y a un seul programme que je regrette d'avoir présenté, c'est Love & Bluff. Une émission absolument merdique. La seule raison pour laquelle je l'ai acceptée, c'est parce que j'ai reçu des coups de fil incessants de la chaîne pendant 48 heures. L'animateur qui devait le présenter les avait lâchés".
Pour ce qui est de cette déclaration choc, pas question de démentir : c'est le fond de sa pensée, bien que la façon de l'exprimer n'était pas des plus fines... "J'ai parlé de Love & Bluff comme d'une émission merdique, bon. Il est vrai que 'merdique' fait parfois partie de mon langage. C'est peut-être le seul truc qui m'a échappé, hier, mais ce n'est pas la première fois que je le dis. Love & Bluff est un programme qui ne me correspondait pas du tout à ce moment-là. C'est totalement anecdotique. Mon désaccord avec la télé-réalité, tout le monde est au courant. On m'a poussée à y revenir hier, c'est la seule chose que j'ai dite".
Au sujet des propos qu'on lui attribue sur Laurent Boyer ("Contrairement à lui, être l'amie des stars ne m'intéresse pas. J'ai côtoyé beaucoup de personnalités sur TF1, je ne leur ai jamais tapé dans le dos. Ce n'est pas ma nature !"), elle ajoute : "C'est aberrant ! Comme je le dis dans l'interview, Laurent me connaît depuis que j'ai 14 ans et c'est mon parrain de carrière. Je ne pourrais pas me permettre de m'en prendre à lui dix lignes plus tard. La journaliste me demandait si le fait de ne pas être l'amie des stars n'était pas un problème et j'ai simplement expliqué que Laurent était l'ami des stars, que je n'étais pas réputée pour l'être de mon côté. C'est tout, il n'y avait aucun lien avec Laurent. Quand vous lisez Gala il y a quatre mois, où j'annonce mon arrivée sur RTL, il y a une photo avec Laurent et elle traduit parfaitement notre complicité".
Le directeur de la rédaction de France-Soir, Christian de Villeneuve, annonçait justement son départ, il y a 48 heures, soit moins de six mois après le rachat du titre par l'homme d'affaires russe Alexandre Pugatchev qui a réinjecté 20 millions d'euros dans le projet de restauration du quotidien. Si, à l'heure qu'il est, France-Soir s'écoule à près de 90 000 exemplaires chaque jour en moyenne (contre 20 000 avant le rachat), ce nouveau manquement (souvenez-vous des photos de Johnny en une qui étaient de vieux clichés...) de la rédaction de France-Soir risque de ternir encore un peu la réputation du quotidien.
JO