Floyd Mayweather : Un avortement, cause de la rupture avec sa fiancée Shantel

Floyd Mayweather est à deux jours d'un rendez-vous de la plus haute importance : son 46e combat, peut-être le dernier de sa carrière. Concentré sur l'événement, il vient pourtant de lâcher une bombe sur les réseaux sociaux en révélant la cause de sa rupture avec son ex-fiancée. Opposé à l'avortement, le boxeur de 37 ans n'a pas supporté qu'elle interrompe sa grossesse...

L'ex-fiancée en question répond au nom de Shantel Christine Jackson. Avant de se séparer définitivement, ces deux-là ont vécu une romance tumultueuse de quatre ans, faite de ruptures et de retours de flamme. Money, comme on le surnomme, a annoncé le motif de la rupture en postant, sur Facebook et Instagram, une photo du sonagramme de Shantel Christine Jackson. En légende, il a écrit : "La vraie raison pour laquelle Shantel Christine Jackson et moi avons rompu, c'est parce qu'elle a avorté, et que je suis contre le meurtre de bébés. Elle a tué nos jumeaux."

Jusqu'à aujourd'hui, un point d'interrogation demeurait sur la perte du bébé (des bébés, en l'occurrence) de Floyd Mayweather, Jr. et Shantel Jackson. Une fausse couche a d'abord été évoquée, avant que ne fassent surface des suspicions sur la véritable identité de leur père. Dans le troisième épisode de l'émission All Access: Mayweather vs. Maidana (du nom de Marcos Maidana, prochain adversaire de Floyd Mayweather) sur Showtime, Floyd parle brièvement de ce drame : "Les gens veulent savoir ce qui m'est arrivé. Il y a trois mois, Ms Jackson était enceinte de jumeaux. Il y a beaucoup de choses que les gens ignorent..." Plus maintenant !

Ce samedi 3 avril, Floyd Money Mayweather affrontera donc l'Argentin Marcos Maidana. La rencontre aura lieu au MGM Grand Garden Arena, à Las Vegas. Forbes affirme que, quelle que soit l'issue du combat, Floyd Mayweather empochera au minimum la somme de 32 millions de dollars.

Lors de son précédent combat, Justin Bieber et le rappeur Lil Wayne ont escorté Floyd Mayweather jusqu'au ring.

I.N.