Frédéric Michalak se confie au magazine Men's Health, dans son édition de février 2010.© Abaca
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1,80m, 80kg de muscles, ça fait envie... N'est-ce pas mesdemoiselles ?
Frédéric Michalak, l'un des Dieux du Stade qui en font fantasmer plus d'une, accorde ce mois-ci un entretien au magazine masculin Men's Health. Le rugbyman du Stade Toulousain, également international de l'Equipe de France, se livre notamment sur ses rapports aux femmes et, plus généralement, sur sa vie privée.
"Ma première copine, j'avais 16 ans et ce fut une histoire sérieuse puisqu'on est resté ensemble trois années", confie-t-il d'abord, avant de revenir sur sa vie sentimentale, ces dernières années. Avec la célébrité, les filles affluent en nombre. Difficile, donc, de ne pas être catalogué comme un playboy... Frédéric Michalak se défend : "C'est vrai que sur le coup des 19/20 ans, quand tout est arrivé en même temps, le succès, l'argent, la médiatisation, j'en ai bien profité", confie-t-il avec lucidité.
7 ans plus tard, Frédéric a bien mûri, il a désormais tiré un trait sur les histoires d'un soir et il l'explique dans les colonnes de Men's Health : "Le matin venu, on se retrouve tout seul quand même et, au bout d'un moment, les groupies et les filles d'une nuit, ça ne rend pas vraiment heureux. Tout ça, maintenant, c'est de l'histoire ancienne", ajoute-t-il.
Ses multiples participations aux calendriers des Dieux du Stade ont révélé plusieurs tatouages... Il explique les significations de ces symboles encrés à jamais dans sa chair. A commencer par le chiffre 82, tatoué sur le torse.
"82, outre mon numéro porte-bonheur, c'est celui de mon année de naissance. Le texte "Anissa ila-l abad" (une phrase en arabe sur son torse, ndlr) qui signifie "Anissa pour toujours", c'est un hommage à une jeune fille malade que j'avais rencontrée pour l'association Un maillot pour la vie, avec qui nous étions devenus amis et qui est malheureusement décédée. Pour moi, cela a été un gros choc", explique le demi-d'ouverture de l'Equipe de France.
Outre cette mission avec Un maillot pour la vie, Frédéric Michalak est un homme engagé : pour les grandes causes, il a toujours le coeur sur la main, prêt à venir en aide à son prochain. Il s'investit d'ailleurs beaucoup dans une autre association, Les Enfants du Mali.
"On travaille pour l'instant sur un village très pauvre, Samani, situé très loin de Bamako, pour lequel on a déjà pu construire une école et recruter des professeurs. Je n'y suis encore jamais allé mais le ferai dès que le calendrier m'y autorisera", confie-t-il.
Enfin, il revient sur l'événement sportif de l'année : la main de Thierry Henry se soldant sur un but (puis sur la qualification de la France) lors du match France-Irlande, dans le cadre des phases de barrages de la Coupe du Monde 2010... Une main pour laquelle Thierry Henry a été blanchi par la FIFA. Frédéric Michalak se veut l'avocat du diable !
"Outre qu'on aurait dû le remercier au lieu de lui reprocher quoi que ce soit, j'ai été révolté par tous ces politiciens et autres débatteurs qui ne connaissent rien à la pratique du sport et qui, à charge ou même à décharge, ont fait une récupération de l'événement carrément nauséabonde", dénonce le sportif, solidaire de son confrère Thierry Henry.
Quelqu'un pour expliquer à Frédo que, contrairement au rugby, toucher des ballons de la main est une faute, au foot...?
JO
Frédéric Michalak, l'un des Dieux du Stade qui en font fantasmer plus d'une, accorde ce mois-ci un entretien au magazine masculin Men's Health. Le rugbyman du Stade Toulousain, également international de l'Equipe de France, se livre notamment sur ses rapports aux femmes et, plus généralement, sur sa vie privée.
"Ma première copine, j'avais 16 ans et ce fut une histoire sérieuse puisqu'on est resté ensemble trois années", confie-t-il d'abord, avant de revenir sur sa vie sentimentale, ces dernières années. Avec la célébrité, les filles affluent en nombre. Difficile, donc, de ne pas être catalogué comme un playboy... Frédéric Michalak se défend : "C'est vrai que sur le coup des 19/20 ans, quand tout est arrivé en même temps, le succès, l'argent, la médiatisation, j'en ai bien profité", confie-t-il avec lucidité.
7 ans plus tard, Frédéric a bien mûri, il a désormais tiré un trait sur les histoires d'un soir et il l'explique dans les colonnes de Men's Health : "Le matin venu, on se retrouve tout seul quand même et, au bout d'un moment, les groupies et les filles d'une nuit, ça ne rend pas vraiment heureux. Tout ça, maintenant, c'est de l'histoire ancienne", ajoute-t-il.
Ses multiples participations aux calendriers des Dieux du Stade ont révélé plusieurs tatouages... Il explique les significations de ces symboles encrés à jamais dans sa chair. A commencer par le chiffre 82, tatoué sur le torse.
"82, outre mon numéro porte-bonheur, c'est celui de mon année de naissance. Le texte "Anissa ila-l abad" (une phrase en arabe sur son torse, ndlr) qui signifie "Anissa pour toujours", c'est un hommage à une jeune fille malade que j'avais rencontrée pour l'association Un maillot pour la vie, avec qui nous étions devenus amis et qui est malheureusement décédée. Pour moi, cela a été un gros choc", explique le demi-d'ouverture de l'Equipe de France.
Outre cette mission avec Un maillot pour la vie, Frédéric Michalak est un homme engagé : pour les grandes causes, il a toujours le coeur sur la main, prêt à venir en aide à son prochain. Il s'investit d'ailleurs beaucoup dans une autre association, Les Enfants du Mali.
"On travaille pour l'instant sur un village très pauvre, Samani, situé très loin de Bamako, pour lequel on a déjà pu construire une école et recruter des professeurs. Je n'y suis encore jamais allé mais le ferai dès que le calendrier m'y autorisera", confie-t-il.
Enfin, il revient sur l'événement sportif de l'année : la main de Thierry Henry se soldant sur un but (puis sur la qualification de la France) lors du match France-Irlande, dans le cadre des phases de barrages de la Coupe du Monde 2010... Une main pour laquelle Thierry Henry a été blanchi par la FIFA. Frédéric Michalak se veut l'avocat du diable !
"Outre qu'on aurait dû le remercier au lieu de lui reprocher quoi que ce soit, j'ai été révolté par tous ces politiciens et autres débatteurs qui ne connaissent rien à la pratique du sport et qui, à charge ou même à décharge, ont fait une récupération de l'événement carrément nauséabonde", dénonce le sportif, solidaire de son confrère Thierry Henry.
Quelqu'un pour expliquer à Frédo que, contrairement au rugby, toucher des ballons de la main est une faute, au foot...?
JO